point de non retour... [Avertissement]

(Hj:un petit conseil pour vous lecteurs, pour lire ce post dans sa toute puissance, veuillez écoutez les musiques de saw et de requiem for a dream...)

Arvel Conor et Kramer Nosgoroth se réveillèrent lentement dans une salle sombre...leur corps étaient douloureux au possible, attaché chacun a une table d'opération, complètement nus, ces deux révolutionnaires n'avaient aucun souvenirs de leur passé récent...

Le fantôme avait pénétré dans l'appartement d'Arvel en pleine nuits et, après avoir enlevé toute les ampoules des lampes, notre serial killer avait fait brisé sur le sol de la chambre l'une de ces prises...
Ce qui avait réveillé l'homme en sursaut...
Notre intelo du coin avait tenté alors de se levé pour identifié le son de ce bruit fort peu commun dans les ténèbres...
Sa première stupéfaction fut de voir que l'ampoule de sa chambre, au dessus de son lit, ne marchait plus...
Sa seconde fut de sentir ses pieds écrasés des bouts de verre...
Sa troisième fut de voir distinctement deux yeux bleus le fixant froidement dans l'ouverture de sa porte...

"Qui est la?"

"...c'est le loup mon enfant...mais dort dort...oui...repose toi...car bientôt tu connaîtra le sommeil éternel..."

Dit une voix grave et sombre, terminant de foutre la pétoche à l'homme de l'hôpital...
Toute fois, étant un homme et non un enfant, Arvel saisit une arme de sous son matelas
Mais le temps de la pointé vers ses deux yeux bleus luisants, ils avaient déjà disparut...
L'homme travaillant a l'hôpital sortit donc de sa chambre...

Première et dernière erreur...ne jamais sortir de son terrier quand un loup vous guette...
Notre arvel fut difficile a maîtrisé, sa résistance au choc fut étonnante...
mais après une partie de chat dans une maison ou aucune lumière ne semblait marché, poursuivit par deux yeux de serial killer...tout le monde serait terrifié au plus haut points...


Kramer fut nettement moins résistant, le fantôme n'eut aucun mal a le capturé alors qu'il était dans son parking, trafiquant une bombe sur la banquette arrière de sa voiture...
Alors qu'un loup marche à quatre pattes, lentement, très lentement derrière lui...et vers lui...
Une simple piqûre à haute dose de Morphine et hop la...

"...chut...tout doux Kramer, tu est un jolie mouton et je doit te dévorer en finesse..."


Ainsi, le loup avait frappé ces héros de leur pitoyable aventure
Tout les deux, éberlué, virent ces deux yeux bleus s'illuminé dans la pénombre de la pièce, Arvel, qui les avaient déjà vu, tenta de poussé un cri...
Sans succès...dans la bouche de ces deux malchanceux étaient disposé une énorme boule, tenue par une chaîne attachée dans leur nuque...à leur propre peau...

Ho oui, il ne serait pas dure pour eux de les arraché pour pouvoir beuglés...
Mais la souffrance serait assurément intenable...

"...bonjour Arvel...bonjour Kramer...l'un comme l'autre, je vous ait réunis ici pour une seul et même raison...vous ete les déchets de cette humanité...Arvel...vous passez votre temps a étudiez et a travaillé...vous ete incapable de voir la beauté de monde...vous perdez votre vie pour des choses vaines et vous ne profité pas de votre chance..."

La lourde voix grave, sombre et détachée résonnait quelque peu dans ces souterrains minables...

"...quand a vous Kramer...c'est encore pire...vous tentez de détruire un monde qui vous a fait naître...vous n'accordé aucune pitié a cette société...vous l'abattez stupidement, comme un soldats obéissant a tout ce que vous indique votre esprit revêche et despotique...Mais je vais arrangez tout cela...aucun de vous deux ne pervertira jamais plus le monde..."

Puis...lumière! La lumière révéla la véritable identité du fantôme...
Enfin non...elle révéla surtout que ce dernier portait un masque africain étrange, troué exclusivement aux yeux pour former les orbites mornes qui entouraient ces yeux d'une froideur inégalé...
Ce n'est pas les pupilles bleu de l'homme qui faisait peur a voir...mais c'était son regard...un regard inquisiteur et mauvais qui examinait avec une étrange grâce chaque détaille des corps dénudé des deux hommes

Les deux mains de l'homme aux proportions parfaites se levèrent lentement, l'une était doté d'une sorte de piège a loup qui entourait le poing en cuir de l'homme...une simple pression de son majeur et le piège a loup se refermait dans l'air dans un *clac* aux résonance métallique qui aurait de quoi vous faire peur...
L'autre main était ouverte...

Une odeur de sang était déjà répandu dans la pièce, et c'était normal puisque avant leur réveille, Kurt avait déjà...hum...commencez ses petits jeux....
Les deux révolutionnaires avaient donc déjà perdu ce qui faisaient d'eux des hommes capables de manipulé des objets…
Couic les doigts…

"Couic couic les doigts et maintenant couic couic la qu…haaaa!!!!"

L'assassin se pencha en avant et ses deux mains se plaquèrent sur son crâne, une violente douleur à la tête…comme si un type s'amusait à faire du marteau piqueur dedans…multiplié par mille…

Un chapeau de magicien tomba au sol alors que l'homme tombait a genoux, continuant son cri de douleur intense, mais la douleur pour certain est considéré par d'autre comme un plaisir...
Et pour Kurt, chaque sensation, joie, tristesse, bonheur et douleur était source d'une jouissance...
Après avoir passé toute une vie de chien, on finit par prendre son pied dans chaque chose que l'on fait...
Surtout quand on est à la limite de la folie furieuse...

L'homme masque se releva donc lentement et passa une main distraite sur son chapeau après l'avoir ramassé

"...bien...c'est pas le tout mes chérubins mais...et si on commençait?..."

Un rire froid...
Des cris glacials...
Décidément Kurt devait être un adorateur du pole nord...


Quelque heures après, Kurt sortit de la cave sous l'hôtel Antilles, il laissa sur place deux...hum...enfin une bonne dizaine de morceaux de viande atrocement mutilé, la peau avait été enlevé, les dents arraché, les chevilles tordus et enfin les...hum...coupé...besoin de vous faire un dessins pour que vous imaginiez ce qu'un esprit pervers comme celui du dandy peut bien avoir envie de coupé?...
En gros, ce n'était plus des hommes...

"...pom pom bodom...j'ai peut être le temps pour me payé un paquet de clopes moi..."

Et ni vu ni connus, hop la, glandouille devant l'hôtel, quinze minute après, une bande de femmes ayant la trentaine passe et embarque le jeune décadent dans une chambre de l'hôtel...

Encore une nuit passée à subir les plaisirs, les spasmes et les bruits des "mal-baisé" comme les appelaient Kurt Mortis...
Ces femmes qui venaient le voir chaque soir, accompagné parfois de leur amant, pour une folle nuit de plaisir violent et malsain...
Car oui, aux yeux de Kurt...tout dans l'être humain n'est que violence et...plaisir, car le plaisir était a prendre dans la violence...

Ainsi, notre dandy fut bien attaché a un lit, sur le dos et...


"...tain de bordel...mémé va me tué..."

Oui bon, il devait normalement travaillé exclusivement au péché...m'enfin! Ce n'est pas grave une fois de temps en temps...
Pi il faut bien qu'il se paye ses clopes non?...
Alors que le dandy, au petit matin, s'éloignait lentement de l'hôtel avec un détachement rare de la part d'un homme qui vient de torturer deux types et d'être un peu près violé par toute une bande de femmes...
Un ultime crie retentit...

"...c'est la nuit du crie ou quoi?..."

Dit Kurt en soupirant, torse nu, il exposait a la rue re-naissante du petit matin ses nouvelles cicatrices...
Être le roi des gigolos pouvait parfois être douloureux...
Si Kurt avait été à la limite du mode de penser normalement "humain", il aurait tout de suite refusé en voyant la multitude d'instrument des femmes...
Mais voila...Kurt n'avait rien d'humain...
Et il avait connus bien pire...
Car ne pensez pas cher lecteur que Kurt est du genre a ressentir mais a le caché, non, ici nous avons droit a un homme amoral, anti-social, un homme pour qui l'amour, l'amitié, la tendresse, la douceur sont inconnus, seul la violence et les plaisir animaux de l'hommes régule sa vie...
Il a grandit comme ça...et il sera toujours comme ça...
Le détachement est la seule arme de cet objet animé doué d'un ego gargantuesque...

Kurt remit en place son chapeau et se vêtit de son tee-shirt moulant noir qui laissait voir...tout son torse d'une finesse et d'une fermeté a inspiré tous les grand sculpteur...
Oui vous savez! Ces tee-shirts dans le même tissu que les collants…
Et bien la, Kurt en portait un…
D'ailleurs il en portait souvent, il aimait bien montré son corps...

Il passa l'air affamé devant un café...mais se refusa à tout plaisir...

Ha oui...et revenons a la fameuse cave où une femme de ménage venait de découvrir une scène digne des plus haut fait des grands serial killer...

Premièrement, quand vous entrez, c'est pour sentir vos chaussures être taché par une fine nappe de sang encore frais au dessus du sol...
Sur deux tables, quatre bras encore attachés solidement par des liens...
Au sol, un morceau de jambes qui semble t-il a été hum...croqué?...

Les trois autres jambes ont été retrouvées accrochées sur des crochets...
Une odeur de sang vous traverse les narines...
Tout le monde aurait une sainte envie de vomir en utilisant son nez

Vous savez a quelle point Kurt peut être obsessionnel quand il veut...alors il a disposé, bien rangé dans un lavabo, les dents et les doigts des hommes morts depuis une dizaine d'heures...
Les doigts étaient dans le sens de la main, pouce à droite, majeurs au milieu...
Et les dents étaient chacune posé a l'extrémité des doigts...
La peau avait été déposé sur ce macabre assemblage, incroyable parodies des dessins des enfants qui ont des cauchemar...
Enfin, les corps et les têtes, sans yeux avaient été posés avec précaution à même le sol, les têtes posées sur les deux torses...

Sur le mur, une longue phrase écrite avec le sang maintenant caillé mais bien lisible des deux hommes...
Cette phrase était elle, sur le mur tout au fond de la pièce, derrière les tables aux bras

Citation :

Je suis un ange, un dieu
Je vole au dessus de ce monde de gueux
Je suis le prince des plaisirs interdits
Et je prendrait votre corps mais aussi votre vie

suite a cela, une autre phrase, écrite sur le mur a la gauche de la pièce, juste au dessus du lavabo, deux lettres, tout simplement...

Citation :

W-Z

Kurt avait signé son oeuvre...

W étaient la 22eme lettres de l'alphabet et Z la 26eme...hors K était la 11 et M la 13eme...
Et oui...Kurt voulait aussi prendre son pied à voir les policiers lui courir après...

Désormais...les policiers pouvaient arrivés...tout était bien rangé, et le monstre qui avait pu faire ça était partie depuis un bon moment...
A noté que la jambes a été mordu avec le fameux piège a loup de l'homme masqué...et que l'assassin n'a pas laissé la moindre trace, sinon ces deux lettres au dessus du lavabo de sa véritable identité...

Commissariat > Cut me free (Vec Marty =))

A l'autre bout du fil, un homme me répondit, il semblait dans les vappes et je pouvais aisément imaginer que je le tirais soit de son lit, soit d'un moment où il plânait. Je ne me posais pas d'autres questions. C'était un indic et il allait faire son boulot, moi le mien et j'espérais qu'il était assez frais pour pouvoir m'en dire plus sur le quartier où je me rendais.

"- Je vais à l'hôtel Antilles, je serais à la réception, rejoins-moi dans une demi-heure."

J'entendis des hurlements de femme, haussai un sourcil et me dis qu'il était grand temps de raccrocher, ce que je fis sans plus de manières.
Une fois le coup de fil passé, je sortis rapidement du commissariat, en passant par l'armurerie pour prendre un Desert Eagle en plus de mon Beretta. Après tout on ne savait jamais ce qui pourrait me tomber dessus.
Une fois dehors, je me rendis compte qu'il pleuvait encore mais plus finement que quand j'étais arrivée. J'étais à pied et je décidais donc de prendre les transports en commun, à savoir un bus qui arrivait justement au niveau du Central.
Je montai dedans, achetai un ticket et me glissai vers un siège non loin de la sortie. Une vingtaine de minutes plus tard, j'étais devant l'hôtel et me dirigeai directement vers l'accueil même si je n'avais que peu d'espoir quand à l'arrivée en avance de mon contact. Je m'accoudai au comptoir, répondant par la négative quand l'hôtesse me demanda si elle pouvait m'aider puis attendit l'arrivée d'Hinatéa.