~~Pandore~~
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

~~Pandore~~

Bienvenue en ces temps troublés
 
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le deal à ne pas rater :
Bon plan achat en duo : 2ème robot cuiseur Moulinex Companion ...
600 €
Voir le deal

 

 Alec, dit " Stone "

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Alec Stone
Informateur(trice)
Alec Stone


Nombre de messages : 45
Date d'inscription : 28/12/2007

ID
Nom: Alec, dit " Stone "
Camp: Renaissance de Pandore
Caractérisitque: Aura

Alec, dit " Stone " Empty
MessageSujet: Alec, dit " Stone "   Alec, dit " Stone " Icon_minitimeVen 28 Déc - 3:42

Nom: Non Connu

Prénom: Alec, mais peut de gens savent que son prénom complet est Alecto. Les personnes qui ont eu des rapports avec lui sans l’avoir jamais vu, le connaissent sous le pseudonyme " Stone ".

Sexe: Homme

Age: Il a exactement 19 ans, mais a quelques années prés il ne connaît pas son âge. Il annonce donc 20 ans à ceux qui le lui demandent, et son apparence ne le démentit pas.

Date de Naissance: A vue de nez, il est né en 2751.

Caractéristique: Aura, mais certains pensent qu'il s'agit du gêne de l'attirance, il ne démentit ni n'approuve, mais il ne s'en sers que pour obtenir des informations vitales.

Groupe: La renaissance de Pandore, mais globalement il s'en moque.

Place au sein du groupe: Informateur.

Statut: SDF, gigolo lorsque ses vieux contacts le relancent.

Particularité : Piercings aux oreilles, où il met des anneaux de différentes tailles, ainsi qu'un piercing sur la lèvre, côté gauche, ou il met le même type de bijoux sans valeur.

Description physique:

Lorsqu’on l’aperçoit de loin, on constate immédiatement que le garçon est sous-alimenté. De taille moyenne, il est maigre, et quasiment rachitique. On devine aussi qu’il sait se battre à son expression lorsqu’on le prend par surprise, et par sa réactivité presque automatique lorsqu’il se sent menacé. Il porte des vêtements amples, élimés, n’ayant plus vu la couleur et la lessive depuis bien longtemps. Seule une écharpe qu’il porte continuellement semble en bon état, et il se débrouille pour qu’elle cache le bas de son visage lorsqu'il est de mauvaise humeur.

Un visage typiquement asiatique, mais fin et creusé. Soumis aux caprices de ses clientes, il s’offre comme étant un jouvenceau imberbe et sans âge réel. Des cernes appuyés stagnent sous ses yeux couleur ciel qu’encadrent des sourcils très fins, et il garde un air insolent qui ne le quitte jamais. Ses cheveux sont ébouriffés ou soignés selon le boulot que l’on lui confie, ou son envie, et sont noirs à la base, bien que méchés de blanc de façon désordonnée en quelques points. Un sourire dédaigneux peut ourler ses lèvres, mais il parait le plus souvent désabusé et très peu intéressé par ce qui l’entoure.

Il a tendance à trop fixer les gens qu’il rencontre, et parait toujours avoir plus de prestance qu’il n’en a, aidé par la gêne de l’aura dont il se serait bien passé dit-il.
Quand il parle on l’écoute, c’est aussi simple que ça.

Description psychologique:

Son mode de vie et ses mœurs sont profondément allées en désaccord avec sa nature profonde, ses idées, et sa façon d’être.

Habituellement sur de lui, il dégageait une confiance innée, et c’est un enfant enjoué vers qui on allait spontanément et sans se poser de questions. Plutôt rêveur il a toujours préféré se mettre en retrait de la richesse et des obligations … Il était assoiffé de liberté, autant qu’il aimait et chérissait la vie. On l’aimait pour sa franchise, le haïssait pour elle, et l’admirait pour la facilité qu’il avait à entrer en contact avec d’autres ou se lier avec ceux qu’il rencontrait, même enfant.

Entretenant dans le passé une relation fusionnelle avec sa sœur jumelle, il ressent aujourd’hui un manque et une déchirure terrible en lui, là ou son absence lui fait le plus mal. Pour être entier et vivre pleinement il fallait qu’elle soit là, et il lui arrive de littéralement péter un câble, engloutit par ses souvenirs. Il est quelque fois mélancolique, et aime rester seul. D’ailleurs, il rejettera toute présence, parfois de façon inconsidérée si la personne tombe au mauvais moment.

Maintenant, ce n’est plus que la carcasse de ce qu’il fut.
Il s’est construit dans la misère et l’absence de parents proches, se faisant parfois abuser ou trahir a de maintes reprises. Il est très tête brûlée, et ne démordra pas d’une idée venue à l’improviste si elle lui parait changer son quotidien. Il est intelligent, bien que sa vision des choses a changée désormais. Quelque fois cacher ce que l’on sait permet de sauver sa peau, et rien, rien, ne lui est plus important maintenant.

Froid et détaché, voici tel qu’il est lorsqu’on le rencontre pour la première fois. Ses piques font mal là où elles se fichent, et le cynisme est une des façons les plus naturelles d’exprimer ce qui lui passe par la tête.

En vrac, c’est quelqu’un qui ne mange rien, autant par nécessité que par goût. Il a besoin de son quota de sommeil, et s’il pouvait il dormirait bien plus que ce qu’il peut. Il ne boit pas d’alcool, et en règle générale ne fume pas. Même si la drogue altère régulièrement ses sens, et qu’il peut rarement se passer de speed pour commencer une journée. Si vous lui proposiez de lui offrir ce qu’il veut dans un bar, il est très probable qu’il demanderait du lait, met rare et qui lui rappelle son enfance. Il semble ne pas craindre le froid, mais il porte toujours des manches tant sur ses tee-shirts que sur ses vieux pulls.

Autre: Un jeune rat quitte rarement son épaule.

[Question subsidiaire] : Comment avez-vous découvert le forum ?
Compte joueur de Crepuscule ^^


Dernière édition par le Ven 28 Déc - 4:25, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Alec Stone
Informateur(trice)
Alec Stone


Nombre de messages : 45
Date d'inscription : 28/12/2007

ID
Nom: Alec, dit " Stone "
Camp: Renaissance de Pandore
Caractérisitque: Aura

Alec, dit " Stone " Empty
MessageSujet: Re: Alec, dit " Stone "   Alec, dit " Stone " Icon_minitimeVen 28 Déc - 4:24

Histoire :

Ploc. Ploc. Ploc.
La pluie tombait depuis quelques heures déjà.

Elle éclaboussait le visage du garçon debout dehors, à contempler ce ciel fou de rage. Et les éclairs illuminaient pendant quelques secondes son visage à intervalles réguliers. Il avait les yeux fermés, ses cheveux dégoulinants de pluie sale venant se coller contre sa peau.

Ploc. Ploc. Ploc.
L’averse redoublait d’intensité, mais cela ne semblait pas le gêner. L’éclat des bouts de métal qu’il faisait passer pour des bijoux ressortait depuis qu’il avait renversé la tête en arrière. Le jour était idéal pour qu’une brusque mélancolie empreigne chaque partie de son corps, que la nostalgie brouille toute pensée cohérente et le rende fou. Puis fou de rage. Incapable de penser à autre chose. De rester là où il se trouvait. De réagir et de raisonner.

Avant qu’il ne se calme. D’un coup. Et que toute l’énergie dépensée pour haïr et pour hurler ne l’arrête brusquement, et ne conduise ses pas sur le pont où il se trouvait maintenant. Les coudes posés sur la rambarde. Le regard vague. Et les yeux clos.

Quelle journée de merde.

Un éclair zébra le ciel.
Et le visage de sa jumelle lui apparu encore, clair, limpide même. Tellement réel … Il serra les points et une nouvelle fois, fut sur le point de se laisser submerger par la douleur. Le manque. La perte d’un être cher. L’espoir que peut-être elle était en vie quelque part. Qu’elle se rappelait de lui. Ou qu’elle l’avait oublié. Ainsi était la vie, les gens.

Il se laissa tomber contre la rambarde, les genoux repliés devant lui, et la tête abandonnée contre ses genoux qu’il retenait par des mains liées. Il ne pu s’empêcher de se laisser aller. Il en mourrait s’il le fallait.

Les souvenirs le submergèrent.

Il avait foulé, un jour, les pavés de cette maison ancienne et respirant la naphtaline. Il avait contré son ennui d’une famille trop vieillotte par les rires et les bêtises sans conséquences. Avec elle. Son double. Sa raison d’exister. Elle était si fragile. Il était fort pour deux, conscient des risques pour deux. Il l’empêchait de se plonger irrémédiablement dans un désespoir plus cruel encore que l’amour fade et superficiel dont l’entourait les siens.

Elle.

Le japon était ainsi, marche droit ou crève. Et ils marchaient droits, eux tous. Ils étaient fortunés, au fonds, il pouvait avoir tout ce qu’il voulait. D’un geste. D’une parole. Ses sourires d’enfants respiraient l’innocence, et l’on ne lui résistait jamais. Fadaises.

Le lien qu’il existait entre ses deux là était tel qu’ils se comprenaient d’un seul regard, d’un haussement de sourcil, d’un battement de paupière … Leur apparence changeait peu de l’un à l’autre, et l’on se demandait jusqu’où irait leur ressemblance. De sexe différent, mais âmes sœurs comme eux seuls pouvaient l’être, mieux aurait-il valu qu’ils ne soient pas de même famille, qu’ils n’aient pas eu la même mère, ni le même père, que le même sang ait coulé dans leurs veines … Elle était le garçon manqué, et lui possédait la force de caractère et d’esprit qu’il lui manquait. Elle était la fraîcheur et l’enthousiasme, tandis que lui se rembrunissait de jour en jour.

Mais un mal s’était emparé de son corps et lui rongeait l’esprit. L’on était en janvier 1762, et il avait onze ans. Le vaccin n’avait pas encore été trouvé. Les scientifiques s’arrachaient les cheveux. Le chaos guettait.

Comment aurait-il pu ne pas se rappeler cet instant précis où il avait sentis que la maladie le gagnait ? Où son corps lui échappait ?

Il hurla plus qu’il ne l’avait jamais fait, se repliant un peu plus sur lui-même. Une plainte horrible, lancinante et puissante comme le serait un ouragan. Puis il se tut. Les images défilant sur l’écran que formaient ses paupières closes. Une nouvelle fois.

Stop, rembobines, play.

Il se rappelait encore du son de sa voix, après toutes ces années. Même s’il n’était qu’un gamin. Elle disait, lorsqu’elle se trouvait à son chevet, pendant tous ses mois, qu’il était « celui qui maintenait la stabilité de ses jours et de ses pensées », elle était si intelligente. Et jamais il n’avait avoué qu’il mourrait sans elle. Elle grandissait. Mais c’était lui dont les jours étaient compté. Il savait que d’autres étaient morts, et son jeune âge n’empêchait pas la lucidité de l’esprit.

Les jours qui avaient suivis, tout le monde pu constater qu’il ne pouvait plus que difficilement se mouvoir, et qu’il ne parlait presque plus. Le lien qui unissait les deux êtres n’était pas anodin. Elle. Elle fut affectée par sa faiblesse plus qu’il ne l’aurait jamais voulu. Il s’en mordait les lèvres jusqu’au sang, ne pouvant guère plus bouger grand-chose d’autre. Il s’en voulait d’avoir laissé le contrôle lui échapper. Alors que la vie le quittait.

L’imaginable s’était produit.
Le mal dont tous parlaient avec horreur avait touché leur famille. Leur noble famille. Si riche. Si bien en vue auprès de tous. Il n’avait pas fallu que cela se sache. Oh non ! Déshonneur ! Trahison ! Haine.

Un sanglot s’échappa de sa silhouette flouée par la brume. Les ombres s’étiraient. La nuit était tombée. Et les éléments achevaient leur danse macabre.

Une nuit. Ou bien étais-ce une journée splendide comme avaient été toutes les autres ? Il s’était réveillé dans cet hôpital. Entouré par des blouses blanches et par des voix inconnues. Il ne voyait rien. Il était complètement drogué et incapable de se souvenir. Voilà les souvenirs qu’il avait, les seuls qui lui restaient.

Un cobaye, un simple et stupide cobaye.

« - NOOOOOOOOOOOON !!
- Restes tranquille.
- La … chez … moi … Non, allez vous en … Ah … Me … tou … chez … paaas …
- Apportez moi la seringue, qu’on le fasse taire, je n’ai pas que ça a faire.
- Oui docteur, voici. »


Ce n’était rien, tout ça.
Il secoua la tête.
Que lui avait-on fait ?

Il ne sus jamais qu’il y avait même eu une cérémonie, qui en elle-même avait été très brève et d’une sobriété à toute épreuve. Une pierre tombale avait été érigée, bien que ceux qui avaient su qui se trouvait à l’intérieur ne soient plus là pour le dire. C’était une si bonne famille, comprenez vous ? Et il ne sus jamais, aussi, qu’elle allait le voir et lui parler tous les jours … Puis toutes les semaines. Puis tous les mois …

Il avait débarqué à Gallisco. Par hasard ? Il n’y croyait pas. Pas une seconde. Quelqu’un l’y avait-il amené ? Mais pourquoi ne savait-il rien de plus …? Pourquoi ce flou … ? Ces mystères … ? Son esprit était aussi vide que les pensées qui l’agitaient quelques instants plus tôt. Il se maudissait de son ignorance. Et il avait du survivre, il avait finit par se l’avouer. Acceptant l’irréel et l’horreur.

Ah, les rues de la ville recelaient bien des secrets ! Les gens étaient désabusés, et le rêve avait déserté les esprits. Et ce manque. Ce manque qui ne l’avait jamais quitté. Cette partie de son esprit qui réclamait sa jumelle. Sa vue. Ses regards. Ses rires quand il racontait des conneries pour la sortir de sa torpeur.

Il en avait rencontrés des gens. Et la vie avait bien fini par suivre son cours. Mais il était bien plus faible qu’avant, plus tête brûlée aussi, feignant l'inconscience, son corps ne lui répondant pas toujours. Il ne le savait pas à l’époque, mais le coma aurait pu le prendre n’importe quand. Et il aurait du y rester.

Cette ville était une décharge. Heureusement qu’il y avait eu Ash'.

Ce pierceur/tatoueur rencontré au détour d’une rue, complètement bourré. Il avait souri en le voyant. Hallucinant devant l’allure vagabonde du garçon, carrément famélique, et flippant devant ses yeux de chien enragé. Ils s’étaient bien entendus dès le départ, et c’est à ce moment là qu’il lui avait percé les oreilles. Deux trous de chaque côté. Pour sceller et célébrer leur rencontre disait-il.

C’était lui qui avait percé le garçon à chaque fois qu’il le lui avait demandé, ne lui demandant jamais rien. Refusant l’aide qu’il lui proposait systématiquement. Eludant les questions sur son commerce. Sur les soucis qu’il avait. Sur ses copines de passages … Jamais la même, c’était son credo, à lui. Il avait été son frère de galère, le seul a qui il avait confié ce qu’il savait. Lui cachant à son tour ce dont il ne voulait se rappeler.

Puis il avait connu la légende.

… Pandore.

D’abord entendue dans les rues. Puis mieux connue par les remous qui agitaient la ville sans qu’il n’en connaisse les moindres détails. Et enfin … Par une femme qui appréciait sa compagnie particulière et les courbes de son corps. Elle s’était mise en tête de lui raconter ce qu’il en était de sa vie à elle. Sans vrais rebondissements. De la politique et de ses idées. De ses envies. Elle s’ennuyait … Et de ce qu’il en était réellement selon elle.

Mais il s’en foutait.
Il voulait vivre. Et le reste n’était qu’un grain de sable dans la vie qu’il menait. La ville ne se préoccupait pas de ce qu’il se passait dans les bas fonds.

Elle lui avait fait découvrir la drogue aussi. Ce fut une parenthèse de vie qui le plongea encore un peu plus dans son cauchemar, dans sa folie, et ses crises comme celle de ce soir. Déchéance. Elle l’avait rendu accro, d’insolent le matin, elle l’avait rendu stone le soir. Et ce ne fut que lorsqu’il s’enfuit, une fois de plus, qu’il diminua une consommation bien trop importante pour son corps déjà faible et dangereux.

Il vécu à nouveau chez Ash’. Comme si celui-ci n’avait pas déjà fait bien assez pour lui, se disait-il en ricanant. Il n’en valait pas la peine. Mais pourtant il avait désespérément besoin de cette bouée de sauvetage, de ce frère, cet ami, plus âgé et protecteur. Mais qui ne pouvait rien faire de plus que lui parler et écouter. Rien faire de plus que rester là.

La vie n’est pas un jeu. Et celle-ci s’appliquait à le lui rappeler à chaque minute, chaque seconde, de sa minable existence.

Il avait fait la rencontre de gens. Ils disaient qu’ils le sortiraient de sa merde noire, ils lui promettaient un autre univers. Et c’est ainsi qu’abrutit de belles paroles, et semblable à une loque il s’engagea. Dans quoi ? Dans un groupe qui se comparaissait à une ère nouvelle, la Renaissance de Pandore. Rien que ça.

Mais il pouvait manger. Tous les jours.

Il était devenu un informateur, et il était doué. Il connaissait la ville dans tous ses recoins, il était un rat des égoûts terriblement utile. Et pourtant si seul.

Un éclair signa la fin de l’orage, et la pluie retomba doucement. Peu à peu la nuit se fit plus claire, et seule l’odeur de pluie et d’eau sale persistante rappela au monde la puissance que la nature avait auparavant.

Il secoua la tête, et se passa une main dans les cheveux. Ses ongles étaient sales. Son écharpe trempée. Ses cheveux emmêlés. Il ne rentrerait pas ce soir, mais de toute façon il ne l’attendait pas. Il arrivait que pendant quelques jours, voire quelques semaines il ne se montra pas, désertant, puis réapparaissant comme si de rien n’était.

L’on ne posait pas de questions.
La vie suivait son cours.

Mais il n’était pas libre, et sa jeunesse s’étiolait.
Revenir en haut Aller en bas
Destiny
Admin
Destiny


Nombre de messages : 281
Age : 35
Date d'inscription : 30/06/2007

Alec, dit " Stone " Empty
MessageSujet: Re: Alec, dit " Stone "   Alec, dit " Stone " Icon_minitimeVen 28 Déc - 17:06

Juste pour signaler que cette fiche est sympatique!

Voilà Very Happy
Revenir en haut Aller en bas
https://pandore.1fr1.net
Alec Stone
Informateur(trice)
Alec Stone


Nombre de messages : 45
Date d'inscription : 28/12/2007

ID
Nom: Alec, dit " Stone "
Camp: Renaissance de Pandore
Caractérisitque: Aura

Alec, dit " Stone " Empty
MessageSujet: Re: Alec, dit " Stone "   Alec, dit " Stone " Icon_minitimeVen 28 Déc - 17:11

Thank you drunken
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Alec, dit " Stone " Empty
MessageSujet: Re: Alec, dit " Stone "   Alec, dit " Stone " Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Alec, dit " Stone "
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
~~Pandore~~ :: Par erreur ou par hasard, ils seront là pour le meilleur et pour le pire... :: Le Recueil :: Renaissance de Pandore-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser