Nom: O'Connor (ancien nom connu d'elle seule)
Prénom: Jarael (idem)
Sexe: Féminin
Age: 27 ans
Date de Naissance: 22 Mars 2743
Caractéristique:
Aura: avec cette caractéristique, la personne peut acquérir une plus grande prestance, selon son envie. Il peut alors plus facilement convaincre, mettre la pression à quelqu’un avec plus d’aisance… Comme pour l’attirance, cette caractéristique peut produire l’inverse si elle est répétée trop souvent.
Groupe: Renaissance de Pandore
Place au sein du groupe: Dirigeante
Statut: PDG du groupe "Omale" (médias, informatique et finances sont les principaux domaines de prédiléction de ce groupe)
Particularité (facultatif) : En raison de ses nombreuses prises de positions allant à l'encontre du "politiquement correct", la demoiselle s'est allouée il y a quelques temps les enseignements de professionnels de la gâchette. Depuis elle ne se ballade jamais sans avoir sur elle un Desert Eagle avec un chargeur plein...et ce bien sûr avec son permi de port d'armes.
Description physique: Âgée de 27 ans, Jarael O'Connor est une femme que l'on peut considérer comme bénie par mère Nature en regardant son apparence extérieure. D'une taille plutôt grande pour une femme, à savoir 1m80, elle semble taillée comme une antique sculpture grecque de par sa silouhette svelte qui attire bien souvent le regard des hommes. Elle arbore un visage fin avec un teint d'épiderme légèrement plus pâle que la moyenne, des yeux d'un vert digne des plus belles émeraudes et une chevelure rousse très intense. Jarael a des habitudes vestimentaires pour le moins strictes dans le choix des couleurs, en effet elle ne porte que du noir, de plus les bijoux qu'elle porte sur elle se limitent à des boucles d'oreilles en or véritable ainsi qu'une bague lêguée par son père sur son lit de mort.
Quans à son aspect physique d'avant son opération, celui-ci est strictement inconnu de tous, sauf d'elle même. (cf l'histoire du perso
)
Description psychologique: Néanmoins, sous ses airs de beauté angélique se cache une âme dont personne ne semble connaître la véritable dangerosité, elle a en effet une psychologie divisée en plusieurs aspects. Tout d'abord il y a la face visible de l'iceberg: une femme fatale au sens propre du terme, froide et implacable, elle est l'archétype du dirigeant d'entreprise ne faisant aucun cadeau à ses ennemis, pour elle la fin justifie les moyens quels qu'ils puissent être.
La face cachée est celle qu'elle arbore avec les rares personnes ayant gagnées sa confiance, et au sein de la Renaissance de Pandore: une fanatique aux tendances révolutionnaires et anarchistes, elle se rapproche de fait de l'idéologie de la pluspart des membres de ce groupe secret en voulant l'effondrement du gouvernement en place et de son principal concurrent.
Mais surtout, le bout le plus englouti de l'iceberg est celui connu d'elle seule: sa vision nihiliste et radicale du monde. Perchée du haut de son poste de dirigeante d'un groupe international, Jarael s'est peu a peu forgée une idée très pessimiste de l'humanité qu'elle considère comme un fléau en voyant l'état actuel de la planète. Son idéologie ? Être l'Apocalypse incarnée pour rayer l'humanité de la surface de la Terre.
Il est également à ajouter qu'en raison de son haut statut social, Jarael a de légères tendances à céder à la paranoïa par moments.
Histoire:
Hôpital de Gallisco, 22 Mars 2743.
C'est en ce lieu et en cette époque que j'ai quittée le ventre de ma mère pour faire mes premiers pas dans ce monde, mais à l'époque, je ne portais pas encore le nom sous lequel je vis aujourd'hui.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que la vie ne m'avais pas gâtée du fait de mon statut d'enfant illégitime, mais malgré celà je suis née, ne devant ma vie qu'au fait que les interruptions de grossesses étaient plutôt mal vues en cette époque. Je suis un être née de l'union de deux univers totalement opposés: fille d'une simple journaliste dans un quotidien et de Charles O'Connor, le fondateur du richissime groupe "Omale" qui entretenait une liaison secrète avec ma mère. Je ne connût pas mon père durant les premières années de ma vie, mais celui-ci se sentait suffisament responsable de moi pour envoyer régulièrement de l'argent à la maison afin que ma mère puisse subvenir à ses besoins et aux miens. Le moins que l'on puisse dire, c'est que j'ai menée une enfance presque normale, si ce n'est que je me retrouvais souvent dans des situations embarassantes lorsque l'on me demmandait des choses sur un père dont j'ignorais tout.
C'est pour l'anniversaire de mes 12 ans que ma mère et moi nous reçûmes la visite d'un homme qui, avec un immensse cadeau entre les bras, m'annonça qu'il était mon père. Parallèllement à celà, l'épouse légitime de Charles O'Connor décéda de mort naturelle, ce qui permit à ce dernier de nous rendre plus facilement visite à ma mère et moi. Un an plus tard je versais mes premières larmes sur un cimetière face à la tombe de ma mère qui, selon le rapport des autorités, s'était suicidée. Je mis énormément de temps à me remettre de cette disparition, parallèllement à celà, mon père me plaça en tant qu'interne dans un établissement privé pour enfants issus de familles richissimes, mais mon caractère cessa bien vite toute tentative de mes camarades de se nouer d'amitié avec moi. J'atteignit finalement 17 ans, et je ne m'étais toujours pas remise de la mort de ma mère alors que cette même année, les premiers signes d'une étrange maladie infectant de plus en plus de monde se répandait. Cette année là je décidais de tout tenter pour avoir accès au dossier concernant ma mère et sa mort, la chance voulû que l'habituel responsable des archives de la police de Gallisco soit tombé malade à ce moment et qu'un remplacant me donne ce à quoi je n'aurais sans doute jamais pu accéder en temps normal: le dossier de ma mère, dont le volume était au moins trois fois supérieur à la moyenne de ceux des citoyens normaux de Gallisco. J'étais depuis peu installée dans la demeure luxueuse de mon père, et c'est là que je passa des heures à lire, avec de plus en plus de dégoût, le contenu de ces centaines de lignes. Ma mère, en tant que journaliste très engagée contre le gouvernement, s'était visiblement attirée des ennuis, et l'Âme de Gallisco avait finalement appliqué le même traitement de choc à ma mère qu'à bon nombre de personnes: un assassinat camouflé en suicide.
Un an plus tard, j'atteignais la majorité, mais surtout j'avais contractée cette fameuse maladie qui tuait de plus en plus de personnes à travers le monde. Je croyais que mon existence toucherait à son terme lorsque les scientifiques réussirent enfin à trouver un remède à ce mal auparavant incurable. Mon père qui avait déjà perdu son fils légitime, et qui ne souhaitait pas voir son dernier enfant mourrir, usa de son influence pour me faire parvenir l'un des premiers échantillons de ce vaccin. J'étais sauvée, mais également transformée par les effets secondaires de cette substance. Un peu partout, les personnes ayant bénéficiées de ce vacin se mirent à voir apparaître en eux les effets du gène Excecratio, et je fît partie de ces nombreuses personnes en développant notamment l'Aura, que je considérait plus comme un don que comme une malédiction. Ce don fût l'ultime raison qui poussa mon père à m'adjoindre les services de professeurs privés pour que je puisse lui succéder un jour à la tête de son entreprise qui se maintenait malgré les crises. 2 ans plus tard j'appris, comme la pluspart des gens de cette planète, l'existence de la boîte de Pandore revendiquée par le groupe du même nom dont les membres fûrent traqués et éliminés, mais j'appris également par le biais d'un de mes professeurs qu'une autre organisation, la Renaissance de Pandore, avait vûe le jour. Séduite par ses idéaux, je devint membre de ce groupe secret avec qui j'avais un but commun: la destruction de l'Âme de Gallisco. Je n'étais qu'une simple membre de 25 ans lorsque mon père décéda, mais sur son chevet une bague portant le sceau de notre famille ainsi que des instructions écrites noir sur blanc m'étaient destinées.
Usant de son influence et de nombreux pots de vin, mon ancienne vie avait été effacée et je fût présumée morte par tous ceux qui me connaissaient (et ils étaient déjà très rares). Suivant à la lettre les recommandations de mon père, j'alla dans une clinique spécialisée dans les opérations esthétiques, et mon visage fût complètement refait ainsi que mon identitée. J'étais désormais Jarael O'Connor, fille secrète de Charles du même nom mais dont tout le monde ignorait la passé, et je pris avec l'appui de la loi les rennes du groupe "Omale"que je fit grandir en importance et en influence après les crises successives des dernières années.
Parallèlement à celà, je menais une seconde vie en redevenant membre de la Renaissance de Pandore, mais cette fois-ci en ne partant pas tout à fait de zéro du fait de la place que j'occuppais dans ma vie officielle. En deux ans je devint plus qu'une simple membre de ce groupe, et le jour de mes 27 ans, j'en devint même l'une des dirigeantes après avoir organisée en toute discrètion et à coup de "cadeaux divers" l'assassinat de l'un des leaders que je jugeait trop modéré à mon goût. L'affaire fût vite résolue, et personne ne discuta mon ascension à ce poste.
Mes projets ? Retrouver la boîte de Pandore si elle existe bel et bien, et l'ouvrir pour déverser sur l'humanité les fléaux qu'elle doit sans doute garder en réserve...