Avatar

Nom: DELACO
Prénom: Sebastian
Pseudonyme, ici "nom de scène": Avatar
Sexe: Homme
Age: 27ans
Date de Naissance: 16 Juin 2743

Caractéristique: Aura.
Groupe: Ame de Gallisco, il ne partage pas du tout leurs idées politiques, leurs convictions, et il préfèrerais ouvrir la boite et laisser le destin seul maître de la vie et de la mort mais il en a été décidé autrement.
Place au sein du groupe: Politicien (plutôt propagateur, « homme-affiche » de l’âme de Gallisco).
Statut: Ex-batteur d’un groupe assez aimé, il a du choisir entre la vie ou un job de Politicien…

Particularité: Excellent en batterie et autre percussion, instruments dans lesquels il s’est lancé très jeune. Il a une bonne oreille musicale et écrivait lui même la plupart des paroles du groupe.

Description physique: Le public hurlait, la foule les adulait, cela faisait 30minutes que les milliers de spectateurs étaient arrivés mais le concert n'avait pas encore commencé. Quand, dans la fosse, la foule n'attendait plus qu'eux, dans les coulisses les musiciens se préparaient. Une fan du groupe, armée de son passe-partout gagné à un jeu télévisé, s'apprêtait à passer les deux gorilles qui gardaient l'entrée des loges. Ils ne purent rien faire d'autre que la laisser passer. Un grand couloir s'étendait devant elle, elle avança de quelques pas et vit une porte, les deux guitaristes se préparaient, grattant quelques notes sur des guitares hors de prix, ils étaient déjà passés par les mains expertes des maquilleuses et autres stylistes qui s'occupaient de leur image. Un peu plus loin elle apercevait la loge du bassiste, il aimait être seul pour se préparer mentalement, enfin seul avec deux maquilleuses et des groopies différentes à chaque concert... Mais personne ne cherchait à savoir ce qu'ils font une fois la porte de la loge fermée. Enfin arrivait la loge du chanteur tant attendu: un miroir digne des plus grands châteaux, une armée de maquilleuses et de coach vocaux, du rock écouté à s'en défoncer les tympans et, de surcroît, c'étaient les chansons du groupe. Le chanteur était beau, sa fan en extase n'osa même pas lui parler tant elle était intimidé, mais dut se résoudre à partir quand il lui demanda gentiment de ne pas rester dans ses pattes...
Mais, dans tout ça, ne manquait-il pas quelqu'un ? Si, le batteur, mais il n'y avait que 3 loges ici, où était-il donc ?... Elle posa la question à un vigile et on lui indiqua une petite porte qui ressemblait plus à une porte de placard qu'à autre chose, elle s'y rendit et l'ouvrit: derrière se trouvait une petite pièce, un débarras pour être exact, quelques mètres carrés, juste assez pour un miroir de poche et, juste devant, un homme d'une vingtaine d'années, tors nue, qui s'appliquait lui même son maquillage très léger. Il était musclé, du moins plus qu'on ne pourrait le penser le voyant habillé, Sebastian vit la jeune femme mais ne lui demanda pas de sortir, il lui dit bonjour et lui souri, c'est tout, un sourire charmant et qui se voulait charmeur, dans son ensemble l'homme était bien fait, un mettre soixante-dix, pas un canon de la beauté mais pas non plus un laideron, il avait les yeux fins mais le nez un peu trop long, des cheveux noirs rarement coiffés.
Maintenant il se leva et, après quelques pas, se retrouva devant la jeune femme, il s'excusa et ferma légèrement la porte afin de prendre sa chemise, sa veste et sa cravate qui étaient accrochées derrière la porte, il s'habilla, une veste de costume d'un noir profond et toujours ouverte, une chemise blanche surmontée d'une cravate rouge foncée qui concordait avec le brun de ses yeux, le tout au dessus d'un baggy pas assez serré qui tombait presque à chacun de ses pas.

Description psychologique: Batteur célèbre, fils d'un musicien plus célèbre encore, il a depuis tout petit vécu dans le luxe, à l'écart des problèmes, à l'écart de la vie... Il a toujours vécu dans la musique, entouré de musiciens chevronnés et de critiques de renom, il comprenait le don des personnes qui l'entouraient, un don pour écrire, pour analyser ou pour jouer avec un petit quelque chose qui rend différent mais il ne comprenait pas pourquoi ces gens, pourquoi son père et surtout pourquoi lui vivaient comme des rois, pourquoi ils se déplaçaient avec des voitures à vitres fumées et pourquoi quand ils arrivaient quelque part un homme leur ouvrait les portes en voûtant son dos sur leur passage... Ils ne valaient pourtant pas mieux que les autres, ils ne faisaient qu'être des personnes douées pour faire partager une émotion par le biais de la musique et c'est pour cette raison qu'après ses 19ans et son émancipation il devint un "homme de classe moyenne", certes le groupe aurait put lui apporter richesse et puissance comme aux autres membres et a tous ces contemporains qui écrivaient et jouaient eux aussi de la musique appréciée par le peuple, mais il ne l'a pas fait car Seb ne le voulait pas, il ne voulait pas s'enrichir ainsi et de toute façon la plus belle des récompense qu'il obtenait en jouant c'était les applaudissements et les critiques positives, non les montagnes de billets et les vices qu'ils apportent...
Il était différent des autres membres du groupe, il ne buvait pas, ne se droguait pas -même si il avait voulu le faire il n'en avait pas les moyens- il jouait sur une batterie que quelques mois d'économie lui ont permis de s'offrir et avec des baguettes qu'il a depuis quelques années déjà. Il ne demande pas de grosses sommes pour les concerts, juste de quoi boire, manger, se loger et s'autoriser de temps en temps un achat imprévu.
Il a une image de lui plutôt négative, il ne se voit pas comme un "super rockeur" ni comme un "dieu des baguettes", il est juste un batteur avec un peu de talent et un écrivain avec un peu d'imagination qui lui ont permit d'arriver où il en est avec le groupe. Et, depuis maintenant quelques années, l'image qu'il a de lui s'est encore plus aggravée, il n'est maintenant plus qu'une marionnette contrôlée par l'état pour attirer des partisans et un traître à ses amis...
Il ne porte pas non plus en très haute estime le gouvernement qu'il représente, il n'aime pas sa façon de faire et ne partage pas ses idées et pourtant il travail pour lui... Etrange n'est-ce pas ?... Ne serait-il pas forcé d'être ce qu'il est aujourd'hui aux yeux de tous ?...

Autre: Il a beau occuper une fonction importante (-> politicien de l’ame) et être une célébrité assez connue il fait partit de la classe moyenne (très moyenne même), il a de quoi se loger, se nourrir et s’autoriser quelques loisirs mais c’est tout. Il n’aime pas avoir de l’argent à foison et s’afficher avec. Il porte toujours dans une de ses poches ou non loin de lui ses baguettes, un carnet et un stylo au cas où l’inspiration viendrait sans prévenir.

[Question subsidiaire] : Comment avez-vous découvert le forum? Par From-Hell je crois

Histoire:
« Bonjour, tout d’abord, Mr. Avatar.
-Bonjour, Avatar seulement, pas de Mr.
-Bien. Alors, pourquoi êtes-vous ici ?
-Parce que mes employeurs veulent que quelqu’un juge ma santé mentale.
-Vos employeurs ?
-Ceux qui payent ce rendez-vous, qui contrôlent les medias, les façons de pensées et qui détruisent un peu plus notre monde par leurs actes.
-C'est-à-dire ?
-L’âme de Gallisco.
-Pourquoi avez-vous une si mauvaise vision d’eux ?
-Parce qu’il existe une autre vision possible ?
-S’il-vous plait, si vous continuez ainsi nous n’avancerons pas.
-Que voulez-vous pour avancer ? Que je vous raconte mon enfance baignée dans le pognon de mon père, que je vous dise le nombre de fois ou j’ai voulu mourir après avoir vu mes amis mourir ou quand on ne ma laisser choisir qu’entre vivre ou me trahir ?...
-Oui, oui c’est ça que je veux car c’est ainsi que je vous comprendrais… »

Sebastien s’était levé du divan, le psychologue qui lui faisait face grattait quelques mots sur un calepin qu’il tenait dans sa main. Ils se regardèrent longuement, l’un cherchait à comprendre et l’autre voulait se cacher… Après dix minutes ainsi silencieux Seb alla prendre la chaise de bureau du psychologue et s’assis dessus.

« Mon divan n’est-il pas assez confortable ?
-Je préfère regarder les gens en face quand je leur parle, et non regarder le plafond.
-Vous êtes donc décidé à me parler de votre passé.
-Si ça me permet de sortir plus vite d’ici alors je le ferais.
-Et bien allez-y, je vous écoute attentivement.
-Et bien. Je ne sais pas par où commencer.
-Commencez par le commencement : votre père était Arthur Delaco c’est ça ?
-Oui, le GENIALISIME Arthur Delaco, celui dont le talent n’avait pour égal que son égaux démesurer, et il ne manquait pas de me rappeler que je lui devait tout, entre mon cours de batterie et mes cours avec les pédagogues.
-Vous ne l’appréciez pas ?
-Il s’est toujours servit de la musique pour gagner de l’argent sur le dos des autres. Il m’a peut-être donné la vie mais il n’est pour moi rien de plus qu’un gars qui m’a pourri la vie 18ans de suite.
-Racontez-moi ces 18 années que vous dites si mauvaises.
-Je m’efforce de les oublier.
-S’il-vous plait.
-… Avant mes 13ans tout allait bien, je prenais des cours de percussion depuis 7 ans déjà et il était fière que je commence déjà à suivre son chemin en composant mais moi je n’était pas fière de lui ressembler un peu plus chaque jour, et je finit par lui dire : un musicien ne devrait pas gagner tant d’argent, surtout pas un musicien tel que lui qui crée un morceau tous les 3ans. Nous vivions loin des problèmes que peuvent rencontrer les gens qui ont tout juste de quoi vivre, certes, mais nous vivions aussi loin de la vie ! Tous nos voyages se faisaient en voiture à vitres teintées, quand on arrivait quelque part on s’inclinait devant nous, et pourquoi ? Parce que nous avions de l’argent, de l’argent très sale à mon avis. Donc, ce fameux jour où je lui ait avoué que nous ne devrions pas vivre mieux qu’une famille de classe moyenne il m’a répondu très simplement : une gifle et une gentille phrase qui me disait de m’estimer heureux d’être un Delaco et de partir si ça ne me convenait pas. Mais, à 13-14ans, je n’aurais pu quitter ainsi ma famille, aussi mauvaise soit-elle, je n’en avais pas le courage donc je suis resté. Durant 4ans je du supporter le fait de me croire mauvais, pour moi j’était une sorte de profiteur qui utilisait l’argent des autres, je l’ai vécu très mal et…
-…Et ?
-Et j’eu plus d’une fois l’envie de mourir : je n’avais pas d’ami, j’étais toujours seul chez moi à travailler la batterie ou les cours normaux, je ne savait pas ce qu’était l’amour, je ne voyais le monde que derrière les vitres de nos voitures. C’est ce qui m’a fait partir, le jour de mes dix-huit ans, quand mon père me tendait les clés d’une voiture qu’il m’offrait je lui tendit en échange une proposition d’émancipation en lui disant simplement qu’un jour il m’avait dit que si je voulais partir je n’avais cas le faire. Et je l’ai fait, il a signer le papier et m’a mit dehors avec uniquement mes vêtements sur le dos et je me suis senti plus normal, je me suis senti meilleur, le sang de ce gros co* avait beau couler encore dans mes veines je ne faisait maintenant plus partit de la famille, je n’était plus Sebastian Delaco mais juste Sebastian et j’en était ravis.
-Vous êtes donc passer de richissime à pauvre ?
-Oui, d’ailleurs les tabloïdes ont fait leur beurre sur le dos de cette histoire et mon père à énormément perdu à cause de moi, il a dut faire étouffer l’histoire et les journaux sont gourmands.
-Et qu’est ce qu’il vous est arrivé ensuite ?
-Après ça j’ai errer, sans but précis, enchaînant les petits boulots afin d’avoir de quoi manger, dormant sur des cartons ici ou là, et j’ai finit par avoir assez d’argent pour louer un appart’ juste au dessus d’un bar de nuit –vous voyez, le style d’appart’ où l’on ne peut dormir qu’entre 8h et 22h car la nuit il est trop bruyant- mais cet appart’ me plaisait car je l’avait eut en travaillant et, de plus, le bar de nuit qui se trouvait dessous m’a bien servit par la suite.
-Comment ça ?
-C’est là, lors d’une soirée, que j’ai découvert les autres membres du groupe. Un soir où les deux guitaristes et le chanteur se produisaient, j’ai tout de suite aimer leur façon de jouer et, pendant un morceau, je me suis glisser derrière la batterie pour les accompagner, ils l’ont très bien pris et nous sommes devenu amis, nous ne voulions pas créer de groupe ensemble au début mais j’ai finit par lancer l’idée et ils ont acceptés, ensuite nous avons fait une longue audition pour trouver le bassiste et on est tombé sur un cas rare »

Pour la première fois depuis le début de la consultation le psychologue put voir sur le visage de Seb un sourire, un sourire d’enfant qui joue avec ses amis, un sourire naturel qui n’était en aucun cas là pour faire bonne figure.

« Bons souvenirs ?
-Oui, je crois que ce temps là était le meilleur : le groupe était tout jeune, on enchaînait les représentations sans vraiment se prendre au sérieux, on ne faisait que des reprises, le chanteur était naturel, on se faisait de quoi vivre grâce aux petits concerts et les gens semblaient aimer ce qu’on jouaient. Mais ça n’a pas durer, j’ai commencer à faire lire aux autres mes compos et ils ont aimés, ils ont proposés de les chanter, on finit par avoir notre style à nous, un style qu’on aimaient et que les autres aimaient aussi, on prenait du plaisir à jouer autant qu’à se boire une bière avec le public après les représentations. Mais avec la célébrité vinrent les problèmes : le chanteur pris la grosse tète et commença à nous prendre de haut, les guitaristes buvaient trop et n’étaient pas toujours lucides lors des concerts que l’on donnaient, le bassiste se laissait aller à des divagations charnelles qui donnèrent une image assez mauvaise au groupe car, bien que l’on donne toujours une image de nous seine, les gens savaient ce qu’il se passait dans notre intimité, mais ils aimaient notre musique et non les musiciens c’est pourquoi on continua de faire salle comble à chaque concert et à vendre beaucoup, autant de disques que d’objets dérivés, ramenant toujours plus d’argent dans nos poches… Enfin, dans les leurs…
-Dans les poches à qui ?
-Aux autres membres, je n’ai jamais demander de gros cachet lors des concert, je ne gagnais rien sur les produits dérivés ni sur les CD, et si j’avais pu j’aurais fait les concerts gratuitement et offert les CD aux gens qui venaient en souvenir de nous… Mais notre maison de disque autant que les autres membres étaient totalement opposés à ça… Malheureusement.
-Pourquoi ne vouliez vous pas gagner d’argent en donnant du plaisir aux gens ainsi ?
-Ce n’est pas ça mais, voyez ce que l’argent a fait : il les a corrompu, il les a tuer…
-Racontez moi pourquoi ils sont morts…
-… Un soir où les guitaristes avaient un cocktail de trop dans le nez et où le bassiste s’envoyait une ligne de drogue ils ont décidés d’écrire, et ils ont écrit une chanson anti-gouvernementale qui prônait l’anarchie. Le chanteur accepta, et moi je ne vis pas d’objection à dire ce que tout le groupe pensait à propos de notre gouvernement de merd* et des hommes qui étaient à sa tète. Alors j’ai donner mon accord pour la jouer, et c’est ce qu’on fit, mais les paroles ne passèrent pas par la maison de disque : pendant un concert on a surpris tout le monde, le public autant que les caméras qui retransmettaient dans toute la planète les images du concert, en faisant ce morceau dont les paroles étaient très dérangeantes, d’autant plus que les jeunes qui écoutaient notre musique nous auraient écoutés même si nous leurs avions dit de se jeter d’un pont. Alors, dès les premières paroles, le gouvernement fit cesser la retranscription du concert, il ne put empêcher que l’on finissent la chanson mais, une fois que ce fut fait, on nous invitât gentiment à retourner dans nos loges… Le public était subjugué par ce que l’on venait de chanter, 5.000 gosses nous avaient entendus, pas un de plus, alors est-ce que ça en valait la peine ?... Une fois dans les loges des hommes en noir nous laissèrent un choix : cesser toute activité musicale et démentir la chanson avant de rejoindre les rangs de l’ame… ou mourir. Sans hésitation, les deux guitaristes dirent qu’ils préféraient crever, leur vœu fut exaucé sous les yeux des autres membres, moi y compris, une balle leur transperça la tète… A la suite de ça le bassiste cracha au pied d’un des hommes qui n’apprécia pas et le tua sans plus de cérémonie. Ne restait plus que le chanteur et moi et, n’écoutant que mon courage je décida de renier mon idéologie et d’accepter leur proposition, ils tuèrent sans remord le chanteur qui n’avait encore rien dit…
-Vous…
-… Je les ai trahis et je m’en veux encore aujourd’hui… Ils sont morts par ma faute, et tout ce que j’ai gagner c’est de devenir une marionnette du gouvernement, un outil qu’il sort pour rallier des gens à sa cause…
-… Et votre père dans tous ça ? Où en êtes vous avec lui aujourd’hui ?
-Au point mort, depuis 9 ans maintenant je n’ai plus de nouvelles de lui, je n’ai jamais cherché à le recontacter et je n’ai aucune nouvelle de lui alors que je vis dans la même ville… Enfin bon, ce n’est pas une grande perte, après tout ce qu’il m’a fait subir… Et de toute façon maintenant je ne suis plus son fils, je suis Avatar, tout simplement.
-Un pseudonyme bien étrange d’ailleurs, que vous portez, je crois, depuis les débuts du groupe. Que signifie t-il ?
-Rien de spécial, avant je savais pourquoi j’avais choisi ce pseudo mais désormais il n’est plus qu’une marque de fabrique.
-Bien, bien… »

Le psychologue alla jusqu’à son bureau –bureau dont la chaise qui allait avec était sous Seb- il pris une feuille et y inscrivit quelques mots en rouge que Seb put lire : « Peut continuer dans la voie qu’il suit. Aucune maladie mentale détectée. Le patient est sain, rien d’autre à signaler. ». Il signa puis il se releva et fixa Avatar :

« Vous pouvez y aller, Avatar. Vous n’aurez qu'à donner cette lettre à la secrétaire en sortant, elle l’enverra à votre patron, vous n’aurez aucun problème et la prochaine psychanalyse n’est pas pour tout de suite, sauf si vous souhaitez encore me parler.
-Merci docteur, mais non merci. Je vais y aller, si j’ai quelque chose à vous dire je prendrais rendez-vous mais ne vous attendez pas à me revoir de si tôt.
-Je m’en doute, les gens n’aiment pas trop parler aux psychologues.
-C’est parce qu’ils ne veulent pas voir la vérité en face : le monde est devenu fou. »

Sur ces mots il sortit, donnant la lettre à la secrétaire comme l’avait demander le psy, sur le chemin de la sortie il croisa un homme qui parlait à son petit doigt, sûrement le prochain patient, il n’aura certainement pas la chance d’avoir un rapport favorable celui là. Ava descendit les marches qui le séparaient de la liberté, Il était habillé d’un jean taille basse et d’un t-shirt noir surmonté d’un blouson en cuir : c’est qu’il faisait froid en cette matinée de Décembre. Il regagna sa voiture –voiture qui n’était plus de première jeunesse-, sortit la clé et ouvrit la porte, une fois installé il boucla sa ceinture et sortit de la place de parking qu’il occupait, la police patrouillait, des personnes marchaient et un bus s’arrêta prendre quelques passagers, une journée normale quoi. Après quelques minutes de route il sortit une télécommande et appuya sur un bouton nommé « open », une porte de garage dans un boucan impossible se leva et il rentra sa voiture, il descendit et s’approcha du bâtiment qui faisait face au garage, il était situé dans l’Armansva et ne coûtait pas très chère à louer mais en contrepartie ce n’était pas un 200m² super bien agencé. Il entra son code dans le digicode et passa la porte, montant quelques marches il arriva bien vite à son appart’, il prit le courrier, une lettre venait du gouvernement, il déposa le courrier sur la table de la cuisine et partit se laver. Après quelques minutes il revint tout propre, juste habillé d’un baggy qui laissait apparaître son sous-vetement, il ouvrit la letre et la lue à voix haute :

« Bonjour, nous vous demandons de bien vouloir vous rendre dans l’hopital le plus proche afin de vous faire vacciner, un questionnaire vous sera aussi proposer, veillez à y répondre sincèrement. Cordialement l’ame de Gallisco. »

Il déposa la lettre et alla s’habiller, de toute façon il n’avait rien d’autre à faire qu’aller se faire vacciner maintenant, le gouvernement n’avait pas l’air d’avoir besoin de ses talents d’orateur pour l’instant.

Bienvenue à toi!

Superbe fiche, superbe histoire! Toute la présentation est faite de forme originale (je suis subjuguée par la présentation physique^^)

Bref, excellent.

Bienvenue encore en ces lieux, pauvre petite marionnette prisonière de l'Âme.

( je te conseille de rejoindre des sujets où personne n'a encore répondu aux joueurs plutôt d'en créer un toi même, tu peux également participer au scénario, mais visiblement tu l'avais saisi^^)

Merci, pour ce qui est de la qualité de la fiche j'en suis pas fière moi -_-" je la trouve vraiment pas térrible mais bon, chacun ses gouts (remarquez, j'aime pas souvent ce que je fais ^^)

Pour ce qui est des post's j'aurais de toute façon rejoint quelqu'un qui attend un ame charitable mais avant j'irais me faire vacciner et remplir la petite fiche ^^

Pour ce qui est de la description physique c'est la seule chose que je supporte dans ma fiche ^^ (mais je dois relir ma fiche dans la soirée au cas où je retrouve des invraissemblances) et pour l'histoire c'est le formulaire qui m'a donner l'idée de la visite chez le psy ^^.


Edit: il faut toujours se relir, j'ai du éditer 7fois la totalité de la fiche pour corriger quelques erreurs qui m'éttaient insupportables , maintenant ça devrait aller

Edit²: Oups, j'ai mit ma fiche au mauvais endroit ? Dans une autre fiche l'admin parle d'un lieu pour les fiches validées et ça doit etre là où j'ai mise la mienne -_-"... Désolé.

Ah pour l'info Destiny = Calypso.

Ma foi, j'estime avoir bon goût lol

Oui, en théorie tu n'étais pas censé la mettre directement dans la partie "Âme de Gallisco". Mais tu n'es pas le seul à avoir fait cette erreur et puis comme c'est un sans fautes ce n'est pas bien grave

Calypso Lusiana a écrit:

Ah pour l'info Destiny = Calypso.

Mais comment deviner qu'un tyranique admin se cache sous les traits d'une ravissante jeune femme ? ^^

Sinon je suis validé là ou pas ? ^^'. Au fait j'ai cru voir que tu (vous? Avec les admins je sais jamais ) était seule en rp, un petite place pour un ex batteur ou est-ce déjà réservé ?

Destiny tyranique

Tu veux tester mon petit? C'est avec plaisir gnhéhéhéhé

Pour ce qui est de la fiche, elle est validée depuis mon premier post, mais je ne l'avait pas marqué désolée^^

FICHE VALIDEE

Comme ça c'est fait^^

Sinon pour moi ce sera tu^^ (mais sous Destiny c'est "Votre Majestée")

Pour le sujet, si l'envie te prend tu peux aller réveillé Callisto de son banc

Va pour votre majestée alors, et merci de m'avoir valider (je me doutait que c'était fait dès le premier post mais je préfère en etre sure)

Et je passerais te réveiller en douceur alors ^^