Pour une future Chronique. [Kurt + Ouvert]

Célne était apprentie journaliste depuis maintenant deux ans. Aprés des mois de théorie elle allait enfin passer à la pratique. C'était un élément moteur de la classe, bien que parlant peu. Ses remarques étaient toujours pleines d'ironies et de critique pour remettre en question les idées présentées. Pour ceci elle c'était attirée le mécontenetement des futurs politiciens ainsi que la sympatie des désaprouvés. C'était une personne studieuse avec une efficatité remarquée. Mais heureusement elle avait réussit à gader une part de liberté dans sa vie quotidienne. Refusant tout bonnement de s'enfermer dans les études. Cela lui pertétait d'autant plus de les apprécier.

Depuis Lundi on lui avait confié son premier prrojrt indépendant. Le travail était simple en soi. "Présenter là chronique de personnage d'aujourdhui" La jeune femme était ravie. Elle allait enfin voir sa plume dans un journal. Plus de paprase de fais divers. Enfin un écrit recherché. On lui donnait deux semaines pour rendre son travail. Si il était convainquant on le publirait au premier numéro. C'est donc pleine d'entrain que la jeune fille se mit rapidement en recherche d'un sujet. Aprés quelques jours de lecture assidu sur les "Héros ne notre Ere". Céline c'était décidée.

Elle parlerait d'un personnage reconnu. Que d'ailleurs le hasard lui avait fait connaître il y a quelques semaines. Kurt Mortis. Elle se souvenait parfaitement ou le trouver. Et puis d'aprés ce qu'elle savait déjà... cet homme n'était pas dificil à trouver quand ses intérets était en jeu. Ici aucun doute que son projet éveillerait la curiosité. Aprés une derniére journée de préparation Céline prit la route d'Armansva. Dans son sac en bandoliére attendait sagement un questionnaire savamant préparé.

C'est d'une démarche dynamique qu'elle entra dans la ville. Bien sur elle connaissait la réputatio du lieu. Et cela ne faisait que rajouter à son entrain. Elle découvrait enfin la Zone évitée dont tout le monde parlait à voix basse. Ce n'était pas la peur qui l'avait éloigner. Plutôt la trop grande prudence paternel. Mais aujourdhui auncune objection n'était valable. Elle allait faire son travail. Ils avaient eu leurs moue habituelle tout en la laissant partir. De tout maniére les rassurait t elle lls lui avait apprit à se défendre.

En passant devant le Pêcher Originel, Céline ralentit. Elle se souvenait du conseil du jeune homme. Aller rendre visite à cette femme... Plus tard se promis t elle. La jeune femme entra dans un Café dans le centre ville. Elle remarqua les regards lubriques à son entrée mais n'en montra rien. Pour les homme tout les êtres de l'autre sexe était bon à reluquer. Devant le bar elle appela le barman d'une voix claire.

-"Pourriez vous m'indiquer l'endroit ou je pourrait trouver Kurt Mortis ?"

L'interpellé s'arrêta dans son ouvrage intrigué. Il posa le verre à moitier essuyé. Puis la jaugea pied en cap sans aucune retenue. Il fit eu un sourire vulgaire. Savoix raisonna bourure dans la piéce.

-"Quest ce que vous lui voulez à Kurt ?"

L'ouie fine fut attirée par le son d'une porte qui s'ouvre. Ses yeux sombres observérent comme toujours attentifs. Elle entre appreçue les draps enmêllés les deux femmes alanguies sur lelit de débauche. Il c'était déjà vanté de son amour pour les femmes la derniéres foi... Dans ce cartier pouvait elle réelement s'étonner d'une telle scéne ? Certe non. Mais entre la description par les mots et la vision des yeux il y avait tout un monde. Céline n'était pas une jeune femme romantique. Peut être un peu trop lucide pour cela. Ce qui ne l'empêcha pas de détourner le regard. Prendre l'amour comme commerce ètait pour elle une idée presque contre nature. Acheter le plaisir charnel. Enfin pouvait elle roudoyer le plus vieux métier du monde ?

Même sans son chapeau elle l'aurait reconnu. Il était torse nu sans pudeur, toujours ce sourire aux lèvres. Comme pour Céline la vie lu avait laissé quelques signatures sur la peau. La jeune journaliste imagina une bande de groupies se désaltérer sans vergonne du spectacle. Vue le pouvoir, oui c'était le bon mot, le pouvoir qu'il avait sur les esprits... féminins. Si Céline aimait beaucoup l'anatomie masculine, elle l'appréciait plus encore dans le secret de l'intimité. C'est donc sans rougir qu'elle l'écouta rétroquer au barman.

"…laisse la tranquille Shed, c'est une amie a moi…"

Donc il s'appelait Shed. Bien. Qu'en au terme d'amie peut être un peu hyperbolique mais tout à fait flatteur. Il s'accouda au bars comme la derniére foi san gêne et sans repproche. Il avait ce sourire en coin qui devait charmer bien plus d'une demoiselle. Mais pas toute apparament. Céline lui rendit un sourire amical. Et l'écouta.

"…Alors Céline…vous me cherchiez?...Un grand plaisir de vous revoir, votre magnifique visage me manquait a vrais dire, ce n'est pas tous le jours que l'on voit une colombe libre dans ces rues…"

Elle le regarda dans les yeux. Notant tout ce qui pouvait être intéréssant pour retranscrire au mieux l'ambiance de la rencontre. Elle avait remarqué que les lecteurs aimaient être imprégnés dans le contexte qui ammenait la découverte du personnge. Ils seraient servis. Elle ne releva pas le compliment qu'elle pensait sincére, mais d'aprés elle plus une habitude chez Kurt. Un homme toujours prompte à valoriser. Mais pourquoi ? Séduir ? Céline sourit à l'allusion de leur derniére discussion.

-"Les colombes sont bien plus surpprenantes que les gens semblent le penser."

Il fumait. Comme tout ce qui aimait se détruir à petit feu. Dans ce monde pouvait elle le lui repprocher. Devenir dépendant était peut être une maniére comme une autre de sacrocher à quelque chose. Elle afichait un visage neutre mais sans froideur. Malgré tous ses talants de dissimulation elle ne pouvait et surement ne volait cachée qu'elle était contente de le revoir. Ils était plus proche maintenant. Elle sentait l'odeur de la nicotine et celle plus lègére des femmes sur lui.

"…Saviez vous qu'allez toute seule dans un bar comme celui-ci dans ce quartier est dangereux?...Heureusement pour vous, le preux chevalier que je suis était la pour sauvé votre sac a main…"

Avec un sourire tout aussi ironique que le sien elle répondit. Voulait il lui faire peur. Ou s'amusait il encore au jeu de doubles sens. Qu'à cela ne tienne elle aussi aimait profiter des mots.

-"Saviez vous que les colombes ne craignent pas le danger... Je vous aurais plutôt donné le rôle de lintrépide intéréssé et prés toujours à suivre les plus forts. Et puis mon sac ne contient rien d'intéréssant pour les voleurs. En tous cas ceux qui cherchent de l'or."

Il était chameur oui. Elle était naïve pas à ce point. Et voila qu'apparaissait prét d'eux une jeune fille en tenue légére. Elle n'avait peur de rien. A croire ces paroles elle devait avoir le plaisir charnelle en premiére horizon. Céline faillti éclater de rire en entendant la question de cette Mélissa. Elle se retient de justesse en détournant la tête. C'était une gamine. La journaliste n'était pas du genre à faire l'apologie de la beauté intérieur... mais tout de même.

"…Mélissa, toutes les femmes sont belles, mais Céline elle à quelque chose en plus que toi et moi, mais mieux vaudrait ne pas le crier sur les toits sans quoi…"

La jeune femme tourna vivement ses yeux vers lui le fusillant. Comment osait il évoquer ce sujet. Il la métait en danger sans raison. Son coeur s'accéléra comme à chaque fois qu'on évoquait sa capacité. Il n'aurait jamais dut lui faire de démonstration.

-"Quest ce que..."

Mais étrangement quand elle croisa son regard sa colére se dissipa quelque peu. Pourtant sa rainson résistait. Son regard restait dure. Ses mains posées sur le comptoires étaient crispées.

"…Elle pourrait perdre beaucoup…Shed, un verre de Jack et un Armanswa pour Valentine et Céline…"

Ce n'est que d'oeil qu'elle vit la fille les quitter. d'ailleurs elle n'en avait que faire. Son esprit était tirées faire de émotions contradictoires. Comme la derniére foi. C'était étrange et aussi inquiétant. Son masque ce fisura un peu. Elle écoutait cette voix qui à cette intant lui paraissait envoutante. Mais que lui faisait il au juste. Si elle n'avait pas été entrainée mentalement... Mais elle n'était pas comme toutes ces... ces quoi ? Proies faciles.

"Alors…maintenant que nous somme seuls mais épiez, vous pouvez me dire ce que vous désiré de moi Céline…Une discussion? Une accolade? Une proposition?..."

Céline attrapa son verre en but une gorgée découvrant ce goût inatendu. Ce n'était pas normal. L'intéret naturel qu'elle ressent pour son interlocuteur semblait multiplier. Sans qu'elle comprenne comment ni pourquoi. Elle n'arrivait plus à détourner le regard. Heureusement tout cessa lorsqu'il rompit le contacte visuel. En reprenant le contrôle Céline remarqua qu'elle c'était rapporochée de Kurt sans sans rendre compte. Elle s'éloigna un peu en secouant la tête.

Il était joujours de dos lorsqu'elle put repprendre la parole pour répondre.

-"Ce que j'attends c'est une discission... ou disons un e prosition de discussion. Je voudrais faire un papier sur vous...

Elle but une seconde gorgée de sa boisson. Puis se décola du comptoire droite sérieuse.

-"Je penses que vous aurez un regard sur le monde, intéréssant à présenter au lecteur. Serirez vous prét à répondre à quelques questions ?

La jeune journaliste l'observait attentive. Elle était à présent la jeune écrivain avide de cahnger les opinions. Et pour ça elle comptait sur lui. Mais rien ne venait jamais sans rien. Alors elle ajouta.

-"Cela vous amménera une notoriété profiitable. Et..."

Sa voix s'arrêta nette. Elle n'était pas ici pour raison personnelles. Il ne fallait pas qu'elle évoque son propre besoin de parler. De confier ou au moin d'échanger ses idées. Elle était là pour le journal se raisonna t elle. Bien que'elle détestait vendre son projet. Céline ne voulait pas riquer de le voir partir. Et pouvait elle nier qu'en dehors de son travail elle avait envie de parler avec lui. Et cela n'avait rien à voir avec son don. Elle en était convaincue.

"Et vous aviez envie de revoir le bellâtre que je suis?...Ne vous inquiétez pas, beaucoup de femmes pensent comme vous..."

Dit-il pensif mais toujours souriant, fixant la porte de sortie du bar...

Hum...
De la publicité...
Mortis se sentait alors comme l'un de ses super héros de bande dessiné qui ont une belle journaliste pour relater leurs hauts faits héroïque...
Mais comment l'avis d'un simple gigolo pouvait-il intéressé la plèbe de l'archipel?...

En même temps, avec une fugitive collée au basque, mieux valait ne pas être connu...
En même temps, Mortis avait le goût du risque et de plus, il était déjà une star à sa façon...

Et puis...ça pourrait être amusant, qui sait, peut être que si il était une figure social atypique connu de toute l'île, il commencerait alors a pouvoir dormir sur ses deux oreilles sans avoir peur des goûts variants des hommes et femmes aimant les gigolo...

"...Posez donc vos questions Céline, je verrais si j'y répondrais..."

Dit-il alors que sa tête se retournait vers elle, la fixant d'un regard énigmatique...
Un papier sur Mortis? Il n'y avait que les journalistes pour penser cela, une idée aussi farfelue...
Les journalistes, et le dit Mortis...
Bah quoi? On a pas le droit de rêvé d'un peu de gloire?...
Son regard de faucon examinait la jeune femme comme un vautour regarde un être a l'agonie, se léchant déjà les lèvres de la chair qu'il allait pouvoir goûté, transpercé, mordre...
Ho pauvres femmes, pauvres de vous d'être intéressées par lui...
Ha, la voila déjà droite, fixe, attendant les mots de la bouche de ce bijou qu'était le gigolo...
Des mots?...
Il n'y avait qu'une femme pour ne cherché que des mots de la bouche d'un homme, surtout après s'être aventurée seul dans un quartier aussi dangereux pour ceux qui n'ont pas grandit dedans...

"...Je n'y met qu'une condition douce Céline..."
Dit-il d'une voix sombre, son regard s'intensifiait toujours plus...

Chaque homme a un point sensible, même Mortis en avait un...

"...Pas de questions sur mes parents...La raison en est simple...Je ne les aient pas connus...Vous ne pourrez donc rien savoir sur cela...Ha et...Aucune allusion sur cela dans votre papiers, être orphelin n'est que très rarement plaisant...Je vous fait confiance belle dame..."

Il leva lentement sa main, pleines de bagues vers la joue de Céline avant de la caressée tendrement, le simple toucher de sa mains chaude et des bagues froides avait toujours su plaire aux femmes...
Les zones érogènes ne se situent pas toutes dans les endroits charnels comme le pense beaucoup de personnes...

"...Je ne pouvais téter aucun sein, je n'avait aucun repli pour m'abriter, personne ne m'a donné de nom, conçu à la hâte et sans semence identifié..."

Fier de sa tirade, il s'enferma alors dans une attente posée, toujours accoudé au comptoir...

"Vous pourrez écrire cette tirade si elle vous intéresse...Pour cerner mon personnage, il faut savoir cherché le plus poignant non?..."

Sa main retomba sur le comptoir brusquement avant de revenir à sa place normal, Mortis écrasa sa cigarette dans le cendrier à sa gauche, invisible à la vue de Céline, avant de s'allumer une autre cigarette sortie de sa poche de pantalon...
A relevé le terme de personnage et non de caractere, Mortis jouait-il a un jeu en permanence comme les acteurs jouent sur scène?
Bonne question, trop franche pour être posé de prime abors, mais bonne tous de même...

A défaut d'avoir envie de voir son nom dans un journal, ce projet l'intéressait grandement, sa curiosité était piquée a vif et l'intriguait comme une jeune fille intrigue un jeune homme, l'excitation de l'inconnu donc...

Devenir une star du commun des mortels?...Hum...
Cela pourrait être très vendeur...

Et puis pour une fois qu'on lui demandait son avis avant de se renseigner sur lui...
Imaginez un monde la où tous le monde pensera comme lui, ha quel beau rêve...
Qui viendra, un beau jour, Mortis ne sera plus un être unique...

Il leva la tête, d'un air distrait, pour regarder le plafond…
Avoir l'air ennuyé pour forcé le compagnon a cherché a vous intéressé plus, a se surpassé pour vous satisfaire, voici la clé de chaque échange, qu'il soit oral ou corporel…

Mortis était en manque de quelque chose…
Mais de quoi?...
Ha voui!
Son chapeau!

Il adressa un rapide salut de la main a ses deux clientes qui venait de sortirs de leur chambre pour se dirigées vers la porte du bar, elles le lui rendirent, toute contentes d'avoir enfin connu le véritable plaisir dans les bras d'un homme…
Et au passage, la dite Melissa, qui s'était rhabillée avant, lui lança son chapeau, il le rattrapa d'un simple geste du bras avant de le mettre sur sa tête comme un trophée qu'on exhibe fièrement!

Ce chapeau était l'emblème de Mortis, il l'avait suivit dans toutes ses guerres, dans toutes ses peurs irraisonnées, il l'avait depuis qu'il était enfant…
C'était son bouclier contre la peur, ce qui le rendait invincible et confiant…
Mais les marques de drogues qu'avait Morts autours des yeux et sur les bras montraient qu'il n'était pas si particulier que cela…
Tout le monde a besoin de se raccrocher à quelque chose…

"…Ha et…Ne me lancez plus jamais de regards accusateur comme vous l'avait fait il y'a quelque secondes, si je vous voulais le moindre mal, nul doute que cela serait déjà fait, mais je suis homme a aimé la différence, vous ete un joyau Céline, une des ces trop rares personnes a vouloir profondément le bien de l'humanité, beaucoup de gens le disent par pur hypocrisie, mais pas vous…j'apprécie cela…"

Sans l'être réellement…
Mortis avait un art pour ne jamais s'engager personnellement qui relevait plus de l'intelligence que du génie…
Être apréciée de Mortis était un bon point, Mortis était relativement jmen foutiste vis-a-vis des autres en général, bien peu ont le pouvoir de retenir un tant soit peu son attention...

Céline ne répondit pas. Il est vrai qu'elle avait été curieuse de le revoir. Mais pas pour les raison qu'il semblait penser. Ou disons que les raisons qu'il sugérait ne se concrétiseraient pas. Puisque ni l'un ni l'autre ne le souhaitait. Elle ne le brusqua pas attendant une réponse. La patience est une vertue... que la jeune fille avait dut apprendre bien vite. Ce qui ne fut pas une mince affaire vue son tempérament parfoir un peu trop impulssif. Mais la elle pouvait attendre. Puisqu'elle était convaincue de pouvoir le convaincre.

Il aimait jouer avec les mots les silences, elle en était avertie. Dans ces conditions jamais elle ne baisserait les bras. Ce gigolo était peut être doué pour charmer les Hommes. Mais Céline aussi savait ammener les sourires aux lèvres.Mais elle avait envie qu'il accepte pour le projet lui même. Non par un jeu risqué de charme. ce n'était pas ce qu'elle recherchait. Si ses pas l'avaient ammenné jusqu'ici c'est bien parqu'elle croyait y découvire un esprit.

"...Posez donc vos questions Céline, je verrais si j'y répondrais..."

Trenquillement elle soriti un Moleskine et un stylo plume. Elle sentait qu'il l'observait. Quand elle releva les yeux vers lui. Deux yeux trenspérssants l'épiaient comme un chassur avec sa proie. Pensait il l'intimidé ? Dans un autre contexte peut être. Mais aujourd'hui elle se sentait preque
invulnérable. Jueune étudiante elle faisiat som premier papier.

Elle voyait bien qu'il était surpprit par son choix. Et cela plus que le reste lui donna envie de sourire. Même le assuré des hommes aimait qu'on s'intéresse à lui. Malgré toute l'originalité dont il voulait se vétir, il était un homme faïble et mortel. Elle lui renvoya un regard de fauve brillant de défi. Qui chasserait l'autre.

"...Je n'y met qu'une condition douce Céline..."

Elle ôta le bouchon de sa plume en l'intérrogeant du regard. Quelle condition ? Peut être de l'argent. Elle l'aurait comprit. Ce systhéme... enfin. D'un geste distrait elle attrapa son verre et but une gorgée. elle aimait cette boisson. Son regrad sombre lui fit poser le verre.

"...Pas de questions sur mes parents...La raison en est simple...Je ne les aient pas connus...Vous ne pourrez donc rien savoir sur cela...Ha et...Aucune allusion sur cela dans votre papiers, être orphelin n'est que très rarement plaisant...Je vous fait confiance belle dame..."

Elle ouvrie la bouche pour compatir. Mais se repprit. Ce n'était pas ce qu'on attendait elle. Et ce n'est pas ce qu'elle voulait lui montrer. Pourtant son coeur se serra quelque peu. Etre Orphelin. Elle qui avait toujours avec elle deux parents présents pilliés de son éducation. Jamais Céline n'aurait envisager la vie autrement. Voila on lui prouvait comme sa vie
avait pu être douce.

Son regard ne montra rien. Si ce n'est une nouvelle trace de... de quoi au juste. Pas de compation. Mais une sorte de curiosité. Comment réussir à vivre, à survivre dans ces lieux sans protecteurs sans repères. Elle n'allait pas faire de grandes théories vaseuses de psychlogies. Mais cette données apparortait un nouvelle étage à sa réflexion.

-"C'est entendu..."

Une main se posa sur sa joue. Une seconde de surprise la laissa statique. Pourquoi ce geste ? Elle pensait qu'il allaient éviter ce genre d'échange. Mais non... ce n'était pas ça se covint elle. C'était sa maniére d'être. Céline n'était pas de ces personnes pleines de démonstrations d'affection. On la trouvait souvent lointaine. On le lui repprochait parfois.

"...Je ne pouvais téter aucun sein, je n'avait aucun repli pour m'abriter, personne ne m'a donné de nom, conçu à la hâte et sans semence identifié..."

Elle le fixait. Ne perdrait il donc jamais une occasion de jouer. Au ça il aimait la comédie. Mais elle devait lui reconnaître ce talent. Pouvoir jouer de tout. Même de blessures aussi durables et conséquentes.

"Vous pourrez écrire cette tirade si elle vous intéresse...Pour cerner mon personnage, il faut savoir cherché le plus poignant non?..."

-"Je ne cherche pas à apitoyer Kurt. Juste la Vérité. Ou en tous les cas ce qui s'en rapproche."

Oui elle avait comprit. Qu'il voulait, aimait, devait interpréter. mais il était trop tôt pour prendre cette direction. Il resta silencieux. Bien. Elle regarda sa liste de question préparée la veille. Elle les trouva un peu rigides. Sans âmes. Quels étaient le meilleurs myens de l'aborder ? Il avait les yeux vers le ciel. Si il cherchait à l'agacer c'était à moitier réussit. Mais Céline se repprit. Elle ne devait pas entrer dans ce jeu...

Les deux jeunes femmes sortirent de la chambre. Un chapeau vola vers lui. Céline n'accorda aucune attention aux deux inconnues. Mais sourit en voyant le couvre chef. Il n'était jamais sans. Curieuse alors elle commenca.

-"Est ce que..."

"…Ha et…Ne me lancez plus jamais de regards accusateur comme vous l'avait fait il y'a quelque secondes, si je vous voulais le moindre mal, nul doute que cela serait déjà fait, mais je suis homme a aimé la différence, vous ete un joyau Céline, une des ces trop rares personnes a vouloir profondément le bien de l'humanité, beaucoup de gens le disent par pur hypocrisie, mais pas vous…j'apprécie cela…"

-"Merci. Je penses aussi que vous vallait plus que beaucoup d'autre. C'est la raison de ma venue."

Je commencerais simplement alors. Avez vous eu l'occasion de faires des études ?

Remarquant que son verre était vide la jeune femme appela le barman d'un geste de la main. Il arriva en lui jetant un regard un peu bongon mais remplaça le vide par un plein. Céline lui adressa un sourire poli. Puis retourna vers Kurt. Elle présisa la question.

Est ce qu'on doit vous reconnaître un savoir des bonnes maniéres grâce à la" rue" ? Ou la chance d'avoir été en école ?"

Elle irait progressivement. Son regard noir le fixait attentive. Allait il encore jouer ? Il avait des connaissances une expression qui dénotait un certain apprentissage. Qu'en était il.

Céline, journaliste!
Une pas mauvaise, malgré la rancune notoire qu'avait Mortis pour tous ceux qui passait plus de temps sur une feuille de papier que dans leur rues, il l'appréciait, comme on apprécie un père absent ou un inconnu par exemple...

Puisqu'il n'avait plus rien a dire, il réfléchit un peu a la cette question...
Un esprit? Kurt?...
Valoir plus que les autres? Kurt...
Il aurait aimé lui dire de prendre garde avec le coté charmeur de lui même mais temps pis, la vie est ainsi faite, des erreurs, des faux calcules pour beaucoup de gens...
Pour Kurt, juste une petite variation dans son jeux et des faits un brin caché, un sourire polie et loyal, et voilà, on lui donnerait le bon dieu sans concession!...

"...l'école moi?"
dit-il sur un ton comique

Il resta quelque secondes dans le silence, fixant la journaliste comme si elle était un martien venu lui enlevé les organes avant de sourire, la fixant d'un regard étrange en finissant son verre

"Non, je n'ai jamais appris ce que je ne voulais pas apprendre, un esprit critique trop fort certainement, il faut dire que je n'ai pas vraiment eu...le temps...pour allez a l'école chère Céline, et de toute facon, je ne crois pas que j'aurais voulu y allez..."

Il soupira faiblement en regardant Céline se faire remplir son verre d'Armanswa , la pauvre...
Fallait-il dire que le cocktail Armanswa avait été inventé en l'honneur de Mortis?...

"Pour les bonnes manières, je ne pense pas que c'est dans une école où on vous formate que vous les apprenez, j'ai vu des policiers bien plus grossier que des prostitués, j'ai vu des homme politique plus manipulateur que les mafieux, en ce qui me concerne, j'aime que mes actions soit, a défaut d'être les plus nobles, les plus gracieuse possible, parfois je je suis donc polies, comme avec vous maintenant, car pasque je suis polies, vous m'appréciez, mon travaille consiste a plaire...j'aime que les gens gardent un bon souvenirs de moi..."

Regard vers Shed, le barman regarde Mortis...
Ils avaient tous les deux compris...
Ils arrivaient...

"...Céline, aimeriez vous que l'on continue cette discussion dans la chambre la bas?..."

Haaaa parfois, Kurt, même a moi, chéri, tu me fait peur...
En même temps, le temps n'était plus au demi-mesure...

Userait-il a nouveau de son don sur elle pour qu'elle le suive? Non, ca ne serait pas équitable, il se redressa, fixa Celine avec un sourire amusé et s'approcha d'elle avant de lui susurré a l'oreille...

"...Aimez vous les films d'action?..."

Son plus beau regard charmeur, son plus beau sourire, il saisit le verre de la jeune journaliste et le but aussi sec avant de la prend elle par la mains
"...Vous ne devriez pas abusé sur l'Armanswa, elle rend dépendante et est...très forte..."

Plus vite, il soupira faiblement, Shed sortit de sous son bar un fusil a pompe, la majorité des clients qui avaient tenté de fuir jusque la était rentré se caché dans le bar...
Une tension s'installait déjà lentement

"Kurt, c'est pas le moment pour la sauté!"

"Shed, crève bien avec ton bar..."

"Salaud..."

Soudain, Mortis emmena Céline a travers le bar pour l'emmener dans la chambre dont il était sortit quelque minutes avant, de gré ou de force, toujours est-il qu'il la tient toujours par la mains...
La police arrivait...
Décidément, Kurt n'avait rien de mieux a faire car alors qu'il soupira faiblement en ouvrant une fenêtre qui donnait sur une petite ruelle, la porte d'entrée du bar était enfoncée

"Céline, dehors vite!"

Il la pousse plus qu'il ne l'aide a passé, pas question de lui laissé la moindre chance de dire quoi que ce soit, puis passe après elle et referme la fenêtre, dans la rue adjacente, les premiers alarmes brisent le silence qui s'était installé, le chaos se sent déjà, se répandant dans la quartier miteux comme une traînée de poudre...

"...Ne posez pas de question, mais la question j'y répondrait, si ces types vous prennent, je doute que votre condition d'étudiantes vous épargnera de ce qu'ils font en général aux femmes qu'ils ramènent au postes...suivez moi..."

Mortis s'enfonce lentement dans la ruelle, a l'opposé de la grande rue où la police, il disparaît alors dans les ombres...On peut voir a son pas assuré qu'il connaît le coin comme si il avait grandit dedans...
Normal, il a grandit dedans, c'est même dans cette ruelle précise que Mortis a été pour la premiere fois plaqué sur le mur et...
Ainsi, chaque ruelle, chaque rue, chaque bâtiment de l'Armanswa ramène des souvenirs a ce junkie aux yeux marqué par les dérives, bon ou mauvaise, ces souvenirs sont une véritable source d'informations...

Alors que Mortis pousse une petite porte dans la ruelle, porte qui n'est pas éclairé, les policiers rentrent enfin dans le bar, des coups de feux, des cris...
Kurt relève les yeux vers Céline et lui dit avec un grand sourire

"Vous venez que l'on continue votre interview ou vous préférez que quelque policiers pourris s'amusent avec vous cette nuit?..."

Il passe alors le pas de la porte jaunâtre aux taches grise, la peinture de cette porte a été brûlée un jour, ce qui donne aussi quelque forme d'un marron assez dégoûtant...

Derrière la porte, un escalier, tout en bas, un sous terrain, un ancien parking désaffecté, les autres entrées de ce parking ont depuis longtemps été bouché mais étrangement, il y'a encore quelque lampes qui marchent...
Une des nombreuses planques du sieur Mortis...

Kurt s'approche d'un table de bois posée sur un emplacement et s'assoit sur l'un e des trois chaises et attend...

Haa...le calme...
Mortis ne semblait jamais perdre son calme...

Elle entendit le comique dans sa voix. Ele s'en doutait un peu. Mais article ne pouvait se baser sur des supositions. Elle ne détourna pas le regard devant son observation moqueuse. Il pouvait penser ce qu'il voulait de ce début. il fallait qu'elle est des bases solides pour pouvoir poser des questions plus poussées. Et surtout elle voulait avoir toutes ces infos sans transformations. par les propres mots de celui qui les avaient vécut.

Il sourit, encore toujours, une superbe arme. Qu'il avait surement très vite apprit à utiliser...

La jeune journaliste l'écoutait tout en notant les mots cléfs dans son carnet. Des années de note en amphi lui avaient permises d'acquérir une méthode efficace. Son professeur de littérature avait été désespéré en découvrant qu'ainsi l'étudiante puvait prendre le cours et entretenir une correspondance discréte avec certains compagnons de classe. Ainsi elle avait put tenir quelques débats écrits enflamer jusqu'à froiser l'interlocuteurs.

Mais aujourdhui aucune crainte de donner son opinion.

"...je ne crois pas que j'aurais voulu y allez..."

-"Se former sur le vif..."

Il continuait présisant son point de vue. Lui évitant à avoir à poser de nouvelle question. Il devait avoir subit ce genre d'entretient plusieurs fois.

...j'aime que les gens gardent un bon souvenirs de moi..."

-"dans ce cas vous semblez faire du bon boulot si j'en crois toutes les personnes qui vous connaisse..."

-"Porchaine question...

"...Céline, aimeriez vous que l'on continue cette discussion dans la chambre la bas?..."

Elle le regarda sans comprendre. Son oeil devait soupceuneux pourquoi au juste aller dans une chambre pour un interwei. C'était elle tromper. Il était incapable d'avoir un entretient avec une jeune femme sans vouloir la mettre dans un lit. Elle soupira un peu déçue. Céline c'était donc fourvoyée. Elle le regarda s'approcher méfiante cette fois ci. Elle n'aimait pas qu'on la regarde avec cette aire amusée surtout avec ce genre d'idées à l'esprit.

"...Aimez vous les films d'action?..."

Cette fois elle se leva. Et le regarda méduser prendre son propre verre. Mais pour qui se prenait il au juste. Il avait assurément surestimé l'influence qu'il avait sur elle. Ou était il si confiant qu'il se croyait tout permit. Non elle ne vvoulait pas y croire. Il y avait plus de jujotte chez lui. Elle pouvait lui laisser le bénéfice du doute.. Céline remarqua alors que tous les clients quittaient présipitament leurs tables.

Tout ce ci n'était pas normal. Elle observa la salle. Qu'est ce qui les faisait fuir au juste. Son oeil pourtant exercé ne remarquait rien de dangeureux. Bien décidé à comprendre sa voix se fit plus dur et même autoritaire envers le gigolo.

-"Kurt, je ne sais pas, ce..."

"...Vous ne devriez pas abusé sur l'Armanswa, elle rend dépendante et est...très forte..."

-" Ne vous inquiétez pas je suis une grande fille, je sais faire attention à moi."

Répondit elle moqueuse. Voila que maintenant il lui prenait la main. Sans en démordre elle le dévisagea visiblement mécontente. Mais alors elle détecta un son qui ne préjageait rien de bon. Une arme. Derriére le comptoire le barman visiblement se préparait à recevoir. Une lumieur éclaira soudainement sa conscience. Avait elle oubliée ou elle se trouvait. Immédiatement son esprit pragamatique prit le dessus. Elle oublia sa colère. Pour penser au plus important.

Elle ramassa prestement ses affaires écoutant d'une oreilles le court échange des deux hommes. Il ne fallait pas perdre de temps que faisait ils ? Céline avait été entrainnée à fuir, elle savait que chaque seconde pouvaient être déterminantes. D'un geste vif elle referma son sac. Bon la sortit.

Mais déjà Kurt l'entrainait dans une autre direction. Elle le maudit en silence. Si ils prenaient un chemin qu'il était seul à connaître elle serait dépendante de son bon vouloir. Ils entraient à toute vitesse dans la fameuse chambre. En même temps que lui elle pensa à la fenaître. Il était vif. Oui il devait avoir l'habitude. Mais dans quel pétrin c'était elle mise. Déja il la poussait par l'ouverture.

"Céline, dehors vite!"

C'est bien ce qu'elle faisait aller dehors. Le bruit d'une porte fracasser réveilla les échos de ces derniéres arrestations. Non. Il ne fallait pas qu'elle se fasse prendre. Encore moin dans un tel lieu. Elle paniqua un instant à l'idée que ses parents soient assimiler à un tel cas. Ils seraient emprisonnés ce coup ci. La fenaître se refermait. Mais il fallait qu'elle pense à elle pour le moment. Elle étudia la rue qui se présentait évaulant les possibilités qui s'offraient à eux.

"...Ne posez pas de question, mais la question j'y répondrait, si ces types vous prennent, je doute que votre condition d'étudiantes vous épargnera de ce qu'ils font en général aux femmes qu'ils ramènent au postes...suivez moi..."

-"Je sais oui. Mais ce n'est pas ce qui m'inquiéte le plus...

La jeune femme connaissait le sort réserver par l'autorité au gens comme elle. Le viol n'était pas rare la brutalité encore moin. D'ailleurs certaines marques pouvaient en témoigner. Ses passages aux comisariats ne lui avaient pourtant jamais fais aussi peur qu'aujourdhui.

En silence elle suivait le jeune homme. Il se déplaçait comme une ombre. Elle sourit. Heureusement qu'il lui servait de guide dans cette ville. Le son de la rixe accompagna leur passage par une porte discréte de la ruelle. Malgré elle sa gorge se noua. Ils avaient échappés de peu à tout ça. Elle se sentit idiote en se rappelant ce qu'elle avait penser au comporetement de Kurt.

"Vous venez que l'on continue votre interview ou vous préférez que quelque policiers pourris s'amusent avec vous cette nuit?..."

Elle le regarda avec son sourire et sans rien dire entra dans la piéce. A l'état elle n'était pas souvent visiter. Une simple planque conclut elle. Elle le suivit jusqu'à la table. Elle poussa une chaise en face de lui sur la quelle elle s'asseya sans grande grace. Dans le silence elle se permit enfin de soupirer de soulagement. Son visage refletait enfin le mélange confus des émotions qui l'avait prise. Angoisse peur, colére. Et comme à chaque fois l'exitation.

-"Merci.
Oui j'aime beaucoup les film d'action."

Ajouta t elle en riant. C'était un rire un peu jaune. Une expression de la baisse de tention progressive. Savait il au moin tout ce qu'il lui avait éviter ? Elle l'étudia un instant songeuse. Elle lui était redevable. Mais elle préféra enchaîner sur une autre idée. La mine amusée elle demanda simplement.

-"Ca vous arrive souvent ?"

La journaliste devinait déjà la réponse. Mais des présision ne feraient aucun mal. Elle retira son sac de son épaule et le laissa tomber sur la table de bois. Son portable glissa du bagage. Elle ne lui jetta pas un regard et ne prit pas son carnet en main. Les questions qu'elle posaient ne seraient peut être jamais publiées maintenant.