Un rendez vous attendu (ouvert)

Forte du succés de son dernier article pour le campus, Céline avait prit sa désision. Aprés cette arangée avec une fille de sa classe, pour qu'elle lui prenne des notes pour les deux premiers cours de la journée. La jeune fille se dirigeait d'un pas confiant vers le batiment de Jared O Connor. Des qu'elle en avait locasion Céline lisait leur journal. Mais dans cette société qu'elle authanticité pouvait prendre les informations?

Depuis sptembre dernier la jeune étudiante s'évertuait à être le plus honnête dans ses papiers. Une tâche beaucoup plus hardue que ce qu'elle avait d'abord cru. En effet comment imaginer que ses écrits allaient autant surveillés. Par une chaîne complexe ils passaient dans pas moin de six mains différentes. Tous vérifiaient si tout était en ordre... acceptable.

Grâce à des mots détournés Céline ne s'était encore jamais fait prendre.
Er donc ce matin elle était décidée. Elle allé demander un emploi au journal de la ville. Sous son bras était concé le dossier qui répertoriait tous ses articles, plus quelques chroniques qu'elle espérait publier. Une semaine plus tôt elle avait appelé pour un rendez vous. Et voilà ça il était. Elle avait fait attention à prendre l'apparence demandé par l'étiquette comtemporaine. Ni trop discréte ni excubérante. Il fallait mettre toutes ses chances de son côté.

D'une démarche déterminer elle monta l'escalier qui mennait au grand hall. Avant de pousser la porte, la jeune femme tira fermemant sur son manteau. Une prinse de respiration pour se donner du courage. Et ca y est elle allait vers la secrétaire derriére son bureau.

-"Bonjour."
-"Bonjour. Je peux vous aider ?"
-"J'ai un rendez vous...

Le téléphone sonna alors intérompant l'échange. Céline se redressa un peu attentive comme toujours. Toutes occasions étaient bonnes pour saisir des informations. Elle en profita ussi pour mieux observer la jeune femme devant elle. Faisait elle partie de se nombre, devenu mouton par la force des choses ?

C'est alors que notre pauvre jeune fille tentait de saisir les bribes qui parvenaient a ses oreilles qu'elle put entendre la porte s'ouvrire a trois reprises différentes...

Ho non, le voila encore ce timbré...
Nan mais faite quelque chose! Vite, il va encore...

"Mon pere, ma mere, mes freres et mes soeurs allez tous le monde! wohohoooo ca seraiiiit le bonheuuur...ho attendez les amis...on y est..."

Termina la voie envoutante en s'aprochant de la dame, si elle s'était retourné, elle aurait pu voir un homme frele accompagné de deux gorilles types vigiles de boites homosexuel, leur maitre lui était...espece de...heu...
c'est vraiment descriptible ce truc?
Bref! Une espece de dandy vétu d'une tenu qui n'allait certe pas avec sa derniere chanson, veste de cuir, pantalon noir et large, clouté sur les cotés, torse nu sous sa veste sombre, un grand chapeau de magicien sur le crane, dominant une coiffure lisse mi-longue entourant elle meme un visage angelique, un regard divin et des épaules fines...

Bref, ce personage atypique s'avancait vers la secrétaire avec un swing rare...

Quand il arriva proche de la pauvre dame au téléphone, il saisit l'appareil des mains de la secrétaires et fit un grand sourire d'enfant en fixant la dame d'un regard amusé

"Bonjour gente dame! moi et mes ptits gars la, on est la pour...ho mais quelle belle femme, Kurt Mortis pour vous servir!"

Dit-il en détournant son attention vers Celine avant de se frapé l'arriere du crane d'une maniere comique

"Mais j'oubliais, nous somme donc la pour vous demandez poliement et avec toute la bonté qui m'est grace de me montrez la ou on fait les ptites annonces dans le coin, j'ai beaucoup d'argent, un appetit de baracuda et tout un tas d'affaires a bai...heu préparées!..."

Bon ca, Kurtou, y'avait pas besoin de le dire...
Mais vous le connaisez! Il adore en faire trop le ptit...

Alors qu'elle attendait poliment Céline entendit une voix loinaine chanter un air qu'elle ne connaissait pas. Elle dut se retenir pour ne pas sourire. Il était rare de voir quelqun venir trencher le silence respectueux d'un tel lieu. Et encore plus de cette maniére. La rebelle en elle aurait plutôt rie de bon coeur, mais la rien à faire elle devait garder la face. Elle se redressa un peu plus essayant de reprendre son attitude d'attente.

Le turbulant se rapprochait. Et il n'était pas seul. Céline ne pouvait faire entiérement fit de sa personnalité. Un rapide coup d'oeil l'informa. Comme souvent son sens de l'observation lui fut très utile. Ce qui était certain c'est que cet homme était, comment dire... un numéro, atypique. Ce qui la perturba un peu fut de voir les deux amoir à glace qui l'entouraient. Etait il une personnalité ? Céline réfléchit fronçant les sourcils, non elle ne l'avait jamais vue dans la presse.

Bonjour gente dame! moi et mes ptits gars la, on est la pour...ho mais quelle belle femme, Kurt Mortis pour vous servir!"

Céline avait regardé son manége avec la secrétaire sans mot dire. Il était effronté. Mais bizzarement personne ne semblait vouloir lui faire remarquer... L'aisance avec la quelle il s'adressait au gens était surprenante. Même inatendu dans ce monde ou la retenu prime. La jeune femme aimait qu'on assume son caractére mais ne pouvait se permêtre de le dire. En tous les cas pas ici pas maintenant.
Quand il se tourna vers elle en se présentant sans attendre, elle hocha simplement la tête. Elle ne pouvait emtamer une conversation sans en savoir un peu plus. Un réflexe ammené par ses parents. Surtout depuis la derniére fois ou elle avait fait confiance à un inconnu. Grace à lui elle c'était retrouvée en garde à vue. Et cette fois si fichée pour l'éternité aux yeux de l'Etat.

Mais elle pouvait au moins reconnaître que ce Mortis dégagait quelque chose. Une étrange attiarance. Elle n'eut aucun besoin de lui répondre car déjà il poursuivait.

"Mais j'oubliais, nous somme donc la pour vous demandez poliement et avec toute la bonté qui m'est grace de me montrez la ou on fait les ptites annonces dans le coin, j'ai beaucoup d'argent, un appetit de baracuda et tout un tas d'affaires a bai...heu préparées!..."

La pauvre secrétaire ne savait comment réagir. Elle était charmée par les mainiére de cet homme. Mais elle devait tenir son rôle neutre et proprement informatif. Avec un sourire un peu trop appuyé peut être, elle lui répondit.

-"Vous devait prendre l'ascenseur à votre gauche. Au deuziéme étage allez dans le premier bureau. Adressez vous à la jeune femme non loin de l'enrée. Mademoiselle vous disiez ?"

Puis elle tourna la tête vers Céline restée un peu en arriére. Etonnament son masque de secrétaire blasée réapparu aussitôt. La jeune étudiante ne s'en offusqua pas. Et avança d'un pas posant une main sur le comptoire. Elle jetta un coup d'oeil au jeune homme et ses gardes. Pouvait elle donner son identité sans crainte. De toute façon avait elle le choix. Notant avec présision le visage de l'inconnu elle se promi de le retrouver en cas de besoin.

-"J'ai rendez vous pour un entretient à 10h45... Céline Gris de la Main Blanche."

La dame attrapa regarda quelque chose sur un ordinateur. Pendant ce temps la Céline observa un peu plus Mortis. Son caractére curieux prit le pas sur tout. Pour ne pas déranger la secrétaire de nouveau au téléphone, elle s'approcha d'un pas. Et penchant un peu la tête demanda doucement.

-"Pourquoi estes vous sous protection ?"

Quand la secrétaire lui répondit, notre ami Kurt, ce malade timbré nymphophile, sadiquophage et autre mots tous aussi peu élevé et pas français, mais ils sont la pasque je les aimes bien, fit un grand sourire en faisant un clin d'oeil, la pauvre, a peine une phrase et la voila déjà sous le charme...Bah, aucun sport, aucune difficulté, rien d'intéressant donc...

"Merci mademoiselle, si vous passez une nuit solitaire dans l'Armanswa, demandez Kurt Mortis a n'importe qui, on sera vous dirigez vers votre obligé! "

Et hop la, une nouvelle conquête pour notre dandy, ce n'était que la sixième dans la mâtiné mais après tout!
Il détourna la tête vers la malheureuse Céline qui elle semblait avoir été oubliée, la pauvre, il lui adressa un sourire réconfortant avant de soupirer...
Besoin de clopes...mon dieu...
D'ailleurs c'est quoi un dieu?

Bref, alors qu'il subissait son regard, Kurt lui sifflotait, était-il pressé? Certes non, et cela offrait une occasion pour la jeune curieuse de s'intéressée un peu plus a ce personnage anormal qu'était le Mortis, il le savait, opportunité qu'elle ne loupa certes pas!

"...Moi? Sous surveillance? Allons! N'allez pas imaginez n'importe quoi, je ne suis qu'un humble jeune homme, ces deux la sont Bob et Marley, dites bonjours!"

"Bonjour"
Dirent-il avec la froideur d'une tombe, offusqués qu'ils étaient par le tempérament provocateur de ce bambin qui, de simple gigolo, se vit propulsé dans les sphère du commerce noir de la chair et des drogues, roi de la rue, prince d'Armanswa, Kurt avait su se faire beaucoup d'ennemis certes, mais son beau parlé, sa froideur naturel toujours ou presque caché derrière un grand sourire lors des grandes occasions, sa mauvaise réputation d'homme violent quand il le fallait et sa capacité a jouer comme un chat avec les autres l'avaient jusque la protégés de tous ou presque...

"Non, comme je le disait, je ne suis que Kurt Mortis, jeune homme ne sortant de l'Armanswa que rarement avec tous les avantages mais surtout les inconvénients que cela comporte, je n'ai nul besoin de protection, mais vous, Céline?
Qui ete vous donc? Une jeune touriste? Une journaliste, une étudiante ou tout simplement une fille à la recherche d'un travaille bien payé pour pouvoir survivre sur cette archipel si sombre et froide la nuit?"

Ha ça, dans le genre je retourne la situation a mon avantage, on fait pas mieux, j'avait prévenu hein, le Kurtou il cause bien, il a pas vraiment la tête du type paumé qui sort des quartiers pauvres d'Armanswa et malgré tout, c'est la vérité...
Mêlé doute et attirance est l'arme de tous séducteur pour intéressé la proie...

"Bref, non ces deux hommes la ne sont que mes...hum...amis, disons qu'ils sont la pour apprendre a parlé aux belles femmes..."

Tous le long de son discours, Kurt avait fixé la malheureuse Céline d'un regard tour a tour pensif puis amusé au fur et a mesure qu'il ne parlait plus de lui mais des personnages alentours, parlez de soit est bien mauvais dans une discussion, mieux vaut faire parlé les autres et savoir les mettre en confiance par un simple regard...
La tête du jeune homme se pencha légerement sur le coté, comme l'avait fait Céline peu avant, mais d'une facon beaucoup plus théatrale, comme si ce geste avait été répété des centaines de fois, de tel sorte que le chapeau tomba dans la main du jeune homme, ce dernier plongea sa main libre dedans et plongea un regard qui tout d'un coup se voulut beaucoup plus profond dans les yeux de la jeune femme ici bas

"...Faite un voeux Céline..."

Dit-il d'une voie mi-joueuse mi-rocailleuse...

"...Moi? Sous surveillance? Allons! N'allez pas imaginez n'importe quoi, je ne suis qu'un humble jeune homme, ces deux la sont Bob et Marley, dites bonjours!"

Céline ne releva pas le terme "protection" remplacé par "surveillance". L'assurance que celui ci montrait prouvait qu'il devait avoir certaines relations. Ou alors une hypothées plausible en sois...qu'il était fou. A la demande du jeune homme, les deux armoirs à glace s'excutairent froidement. Il étaient tous deux aux antipodes de leurs "ami". Mais pourquoi étaient ils avec lui si ce n'est pour le protéger ?

La surveillance... quelqun que l'Etat voulait avoir sous l'oeil ? Intéréssant à chercher. Et bien ses réflexes d'apprentie étaient déjà bien en place.
Et lui continuait. Avec ce ton qu'il voulait sans doute sincére et amadouant. Si Céline n'avait pas été mise en garde elle serait certainement tombée dans le paneau ilico. Mais ses parents avaient fait bonne oeuvre.

"Non, comme je le disait, je ne suis que Kurt Mortis, jeune homme ne sortant de l'Armanswa que rarement avec tous les avantages mais surtout les inconvénients que cela comporte, je n'ai nul besoin de protection, mais vous, Céline?
Qui ete vous donc? Une jeune touriste? Une journaliste, une étudiante ou tout simplement une fille à la recherche d'un travaille bien payé pour pouvoir survivre sur cette archipel si sombre et froide la nuit?"

Il était un sacré bon commédient. Mais manque de peau pour lui elle aussi. Elle n'avait pas vraiment confiance. Il savait trop bien utiliser les mots pour ne pas être prit au sérieux. La jeune femme décida donc de faire mine d'entrer dans son jeu. Elle jourait la gentille étudiante naïve. Elle dessina un sourire charmé sur son visage. Et d'une voix qu'elle fit timide elle répondit doucement en regardant ses pieds comme gênée.

-"Moi Mr... je ne suis qu'une simple étudiante à la recherche d'expérinace... proffesionelle."

Sans attendre il reprenait. Heureux semble t'il de jouer son numéro de charmeur. Avec un tel talant, il aurait était utile à leur groupe... Elle en parlerait à la prochaine réunion. L'idée de prendre des bon acteurs. Des personnes qui pourraient intégrer tous les milieux. Même celui de ce Kurt.

"Bref, non ces deux hommes la ne sont que mes...hum...amis, disons qu'ils sont la pour apprendre a parlé aux belles femmes..."

Combien de fois répété t-il ce genre de discours ? Il était un séducteur. Un de la premiére espéce, jamais satisfait de son tableau de chasse. Pourtant Céline avait bien décidée de jouer le jeu. Elle releva un visage au quel, elle fit monter le rouge pour donner le change. Une jeune fille comme elle devait être flattée par des paroles comme ça. C'était amusant. Comme si elle était mal à l'aise la jeune femme tourna la tête.

Elle sentie le jeune homme se pencher à son épaule. tournant la tête elle le vit attraper un chapeau et le lui présenter. Faisait il aussi des tour de passe passe pour charmer les dames. Céline retint un éclat de rire et se força à donner une mine suprise. Ce ne fut pas très dure car le regard qu'elle croisa avait totalement changé. Plus sérieux plus profond. Cela réussit à la destabiliser.

"...Faite un voeux Céline..."

Le regard noir de la jeune fille se posa sur le chapeau. Que voulait il un voeux... c'était absurde. Mais si elle voulait avoir des informations. La jeune commédinne ferma donc les yeux. Et sans vraiment sans rendre compte formula en esprit le voeux qui prenait son coeur depuis des années.

*Un Monde Libre*

La secrétaire regardait la scéne avec un mélange de jalousie et de reproche à l'adresse de la jeune étudiante. Et un sourire béat pour le magicien. Les passant observaiient la scéne sans y croire mais repartaient de peur qu'on les assimile au duo.

Tient donc, une jeune timide, mais quelle belle fleur que notre Kurt se ferait une joie de cueillir puis de jeter sans le moindre regret...

Kurt avait toujours détesté ce genre de gens, elle avait une famille, des amis certainement, que pouvait-elle comprendre a la misère humaine?...
Et puis a bien la regardé, elle semblait bien fringante, elle avait du en voir des souffrance, comme tous le monde...
Mais comparé a notre dandy, a la vielle, a Haven...qu'était-elle?...
Ho bien sur, Kurt avait comme règle principal de ne jamais jugé trop vite, car quand bien même le dandy était un atypique, il en restait un homme désirant un monde meilleur, mais dans sa propre façon de pensé, mais que voulez vous, c'est peut être la jalousie d'un défavorisé face a une femme qui elle a eu la chance d'avoir ce que lui n'avait pas eu…

Sacré numéro cette jeune fille, faire ainsi mordre le Mortis, c'était un bon point pour elle car il allait donc se lancé bien loin, offrant ainsi a la jeune femme, qui en fait de compte n'était pas beaucoup plus jeune que Kurt, l'opportunité de battre le dandy a son propre jeux...

Se servir d'une arme tout en étant hors d'attente d'elle, la était toute la force des fous, et Kurt lui avait déjà trouvé cette arme, la logique!
Ho bien sur, Mortis n'avait aucune logique, ou sinon une logique qui lui était bien propre, la logique d'un homme qui jamais ne se laissa dévoré par un système, qui jamais ne rentra dans un groupe, qui resta bien individualiste face a cette société ou tous sont mécanisés et uniformisés...
L'humanité n'avait aucun secret pour lui, ce pauvre Kurt, jamais ne trouvera t-il d'individu digne de lui?...

Alors...voyons voir...
Jeune, timide, cherchant un travaille dans une boite comme celle-ci et pourtant secrète, le moment de pause qu'elle avait eu quand elle avait du donnée son nom montrait également un manque de confiance...
Elle devait donc véritablement sortir d'une université quelconque, elle était donc loin d'être bête, Mortis n'avait confiance en personne et attendait en général que son cerveau futé prenne le temps qu'il lui fallait pour bien calculé chaque geste, chaque mot de ses interlocuteur avant d'envisagé la meilleur réponse alors que pendant ce temps, le dandy amusait la galerie...
Désabusée? Pas tout a fait!
Morne? Pas du tout!
Rêveuse? Très certainement!
Rebelle?...Nous allons le voir...

Mortis fit un grand sourire avant de s'accouder au bureau

"A la recherche d'expérience! L'archipel est un endroit rêvé pour cela! On croise de tout ici, des jeunes, des vieux, des grands fluet, des gras dégoûtants, des hommes riches et brillants, des perdants solitaires a la recherche d'affection... le tout est de savoir cherchez ce que l'on veut mais aussi et surtout...de savoir prendre le temps de réfléchir a ce que l'on veut vraiment...car le rêve nourrit l'esprit mais reste si dure a concrétisé que bien peu s'y essaye..."

Il sortit la main de son chapeau, révélant alors un oiseau, Kurt garda bien sa main serré autours du cou de l'hirondelle qui se débattait tant bien que mal, blanc très solitaire au milieu de l'océan noirâtre qu'était Kurt Mortis...

"Si je la lâche, elle sera libre un instant, elle sera heureuse pendant un très court moment, puis viendra son principal soucis...la survie...pour un oiseau apprivoisé, vivre en liberté et un beau rêve, mais reste un rêve mortel...alors que pour un oiseau sauvage, vivre sous l'esclavage d'une entité puissante est aussi un rêve, il sera nourrit par un autre et pourra survivre a l'abris...les animaux ne sont donc jamais heureux..."

Mortis tourna alors la tête dans l'autre direction, fixant ces deux enfoirés avec un regard sombre...
Il ne restait plus qu'une question a posé a la gente dame après ce discours plein de sous sens bien plus fondé qu'il ne s'y parait...

"...Mais, le plus important reste, avant ce que l'on veut, ce que l'on est...et vous Céline, quelle condition apprécieriez vous le plus? "

Et voila, le piège était posé, il ne restait que trois choix a Céline, dire la vérité et tout révélé, mentir et donc trahir ses idéaux ou se désengagé de la discussion ce qui laisserait sûrement son tempérament hardi en manque de quelque chose...de vérité sûrement?

Kurt Mortis était véritablement une arme a double tranchant, capable du pire comme du meilleur, personnage fou pour certain, génie de l'humain pour d'autres et enfin légende pour tout ce qui restait dans ceux qui connaissait suffisamment Mortis...
Qu'était-il?...

"A la recherche d'expérience! L'archipel est un endroit rêvé pour cela! On croise de tout ici, des jeunes, des vieux, des grands fluet, des gras dégoûtants, des hommes riches et brillants, des perdants solitaires a la recherche d'affection... le tout est de savoir cherchez ce que l'on veut mais aussi et surtout...de savoir prendre le temps de réfléchir a ce que l'on veut vraiment...car le rêve nourrit l'esprit mais reste si dure a concrétisé que bien peu s'y essaye..."

Il était accoudé au comptoire, visiblement très content de son commentaire. Céline l'avait écoutée. Elle avait été véxée de se prendre à son jeu du Chapeau. D'habitude elle était plus prudente. Mais qu'elle le reconnaisse ou non cet homme avait belle et bien une sorte d'attraction. Au début elle l'avait même cru Macro. Un emploi qui vue son attitude au monde aurait put lui convenir.

Mais la jeune femme avait bien sur comprit le double sens de ses propos. Une alarme s'éveilla dans son esprit. Connaissait il... non impossible.
La jeune fille tourna la tête por avoir le temps de voiler son inquiétude en simple incompréhension. Kurt sorti alors un oiseau de son chapeau. Et quel oiseau. Une colombe blanche. A coût sur il devait connaître le symbolisme de ce volatil. Il était encore plus dangeureux qu'elle ne le pensait. Inspirant silencieusement Céline observa l'oiseau prisonnié d'une grande main.

"Si je la lâche, elle sera libre un instant, elle sera heureuse pendant un très court moment, puis viendra son principal soucis...la survie...pour un oiseau apprivoisé, vivre en liberté et un beau rêve, mais reste un rêve mortel...alors que pour un oiseau sauvage, vivre sous l'esclavage d'une entité puissante est aussi un rêve, il sera nourrit par un autre et pourra survivre a l'abris...les animaux ne sont donc jamais heureux..."

Que cherchait il à faire ? La prennait elle pour une idiote. Ou voulait il la tester. Il était claire. Elle avait comprit. Mais pourquoi se mêtait il en danger dans un lieu public. Tout été filmé. Une oreille attentive un peu futée pouvait saisir le double sens de ses mots. Céline ne savait que faire. Faire l'idiote... Mais son interlocuteur mit le probléme en forme avec sa question. Le rusé connaissait bien la complexité de celle ci.
Céline chercha une trace de plaisentrie dans le regard du séducteur. Mais non. Il avait conscience d'avoir mainupé la conversation. Et ça lui plaisait apparament.

"...Mais, le plus important reste, avant ce que l'on veut, ce que l'on est...et vous Céline, quelle condition apprécieriez vous le plus? "

La jeune fille ne voulait pas renoncer à ses convictions. Mais encore plus elle ne voulait pas mettre ses parents en danger. Elle planta son regard sombre dans celui de son interlocuteur. Une lueur de défit le traversa. Aprés un moment de silence qu'elle se força à faire durer, un sourire faussement candide accompagna sa réponse.

-"Ce que vous avez dit ne me semble aas tout à fait juste... il y a toujours des oiseau libre à l'abrit des Puissances. Si l'un d'entre eux se présente aux oiseaux aprivoisés. Un nouveau regard sur le monde peu germer. Et doucement mais surement les oiseaux peuvent réaliser leur rêve de Liberté."

Elle avait été directe. C'était dangeureux. Mais qu'importe elle ne changerait pas. Un sourire franc se dessina alors qu'une idée survint dans son esprit. Une joli maniére de le taquiner. Elle ferma les yeux un court instant. La concentration se fit rapidement. Grâce à des années d'entrainement avec son père. Sous ses yeux clos l'image d'une colombe blanche se créa. Une vsion réaliste époustouflante.

Céline y fit passer les ondes de son pouvoir. Deux secondes plus tard, un mouvement se fit sous son manteau noir. Elle ouvrit les yeux. Et regarda l'endroit satisfaite. Lentement mais surement elle dévoilà le volatil dans sa main droite. A cet instant précis c'était une véritable colombe pliene de vie. Une particularité ses yeux étaient couleur ambre. Signature se ses créations.

L'animal bougeait dans sa main délicate. Céline l'observa un instant. Puis soudaineent elle la lacha. Sans plus attendre la Colombe s'envola vers la grande vitre légerement entrouverte. Au moment de la passer, l'oiseau disparu. La jeune fille sourie. Elle se pencha vers le magicin et chuchota convaincue.

-"N'importe qu'elle oiseau peut être libre... s il le désir vraiment."

Une vague de fatigue la submergea comme toujours. Elle vacilla un court instant. Mais habituée du contre coup, elle inspira. Tout en déclarant sur le ton de la conversation. Chaque don avait sa contre partit.

-"Il faut que je m'assois un instant."

Apprecevant un coin d'attente avec plusieur fauteil elle s'y dirigea d'un pas plus lent qu'à l'ordinaire. Avait elle eu raison de faire ça. Par simple provocation. Son tempérament avait repprit le dessus. Elle se maudissait intérieurement. Encore une foi. Tout ce qu'elle espérait c'est que cette rencontre n'était pas de l'autre camp...

Pas juste donc? Tient donc, la voila cherchant a joué la philosophe avec lui...
Et pourquoi pas en fin de compte, la majorité des gens ne réalisait même pas leur capacité intellectuel, se vautrant dans une paresse mental, esclave d'un système qui les nourrissait, qui les protégeait de l'extérieur et d'eux même, mais apparemment, ce n'était pas le cas de Céline, ho bien sur, elle pouvait bien être une de ces jeunes sortant de l'université et croyant tout savoir, mais étrangement, Kurt n'en était pas certain, personnage étrange et inclassable donc...

La voila donc, possédant un tempérament jeune et vigoureux, entre le courage et la folie, digne de tout jeune tentant de s'élevé dans la société, lunatique aussi, car a bien la regardé, elle hésitait grandement, toutefois, la prudence n'est pas de mise quand on a 20 ans, et quand bien même on est plus intelligent que tous ces imbéciles passant leur soirée a boire, a fumé, a se drogué et a couché comme Kurt en avait vu des centaines, le tempérament de la jeunesse est bien la...
Fort bien, car entre un sage et un jeune, les différence sont bien moindres qu'il n'y parait, ils sont tous les deux aussi faciles a piégé…mais pas sur les mêmes sujets…

Le risque? Allons cher Céline, vous apprendrez au fur et a mesure, si ce n'est pas déjà fait, que Kurt aime tout risqué sur un lancé de dés, la vie est bien trop longue pour ne pas risqué a chaque instant, car quand bien même la mort pourrait survenir, si celle-ci vous fait jouir avant de vous prendre, a quoi bon ne pas la laissez faire?

Mortis fit un sourire accablé, jouant son jeu d'acteur, quand la jeune femme le transperça avec un regard noir, de l'hésitation encore, mais quand bien même, elle avait mordu à l'hameçon…
Ha ces esprits forts et fiers, si faciles a mené…

Hum, sa rhétorique n'était pas mauvaise, signe d'une réflexion bien grande pour un age aussi peu avancé et a moins qu'elle ne veuille prendre Kurt a son propre jeu, le jeune dandy avait devant lui une personne amusante, toujours plus intéressant que ces benêts incapables de réflexion, elle au moins ne semblait pas sortir d'un moule préconçu, non décidément, Céline devait être plein de mystère encore inexploré…
Mais cette naïveté était pourtant bien placée à l'écoute, la jeune demoiselle semblait fière et juste, bien à l'opposé de ces oiseaux en captivité justement…
Ainsi, Kurt avait donc une personne pour le moins douée, grandiose vraiment, le Mortis aurait grand plaisir à plus la connaître…en privé…

Ho! Et la voila donc jouant de son pouvoir, un pouvoir particulier pour une femme particulière, mais que voila donc une marginal cachée mais pourtant bien assumée, sortant de son manteau un oiseau au regard rougeoyant, signe évident qu'il n'était pas naturelle…

Ho oui, certes, certains oiseaux sont et resteront libres, mais on ne change pas un pigeon en colombe, quand bien même on possède tous les pouvoirs de la terre…
Quel plaisir ça allait être pour le dandy de rajouté un peu de cynisme dans cette jeune âme…

Fier de sa démonstration, la jeune femme se pencha en avant pour lui susurré a l'oreille quelque paroles digne d'intérêt, pour un illuminé transit certes, mais pas pour un gigolo ayant passé sa vie a connaître des oiseaux en captivité, riant d'eux tel un aigle se moque d'un lapin qui court pour échappé aux prédateurs sournois, se complaisait a sauté roche comme femelle sans arrêt et sans réfléchir un instant…

"…Mais allez vous asseoir si il vous le faut…Vos capacités sont bien impressionnantes, mais…nous en reparlerons, vos dons de magiciens sont a exploités, gardez bien d'en parlez ou de trop le montré..."

Kurt Mortis suivit la jeune femme mais lui ne prit pas la peine se s'asseoir, au lieu de cela, il la laissa s'installé dans un fauteuil avant de passé derrière elle, s'accoudant au dessus de la chaise confortable sortit tous droit d'une usine, Ses mains pleins de bagues toutes aussi morbides les unes que les autres virent encerclé les épaules de la jeune dame, la tête de Kurt se pencha légèrement en avant, approchant de trop sa bouche de l'oreille gauche de Céline

"…Et, si je vous disait que j'était un policier en civil et que ces deux brutes sont de la brigade d'intervention, si dans dix minutes des policiers venait vous prendre…savez vous comment on traite les révolutionnaires ici?...Pensez vous que ceux qui se sentent bien dans ce système vous laisse faire?...croyez vous vraiment encore a la grandeur de l'espèce humaine?...Croyez vous que vos bonnes idées vous protégerons des bœufs vicieux qui se cachent dans des uniformes ou derrière des barreaux?...Non Céline, l'humanité se complait dans sa…merde…car la merde est chaude et douce, alors que la liberté est froide et solitaire…avez-vous déjà connus cette impression d'anxiété, seule dans une ruelle d'Armanswa, des gens se rapprochent de vous, vous entendez le bruit d'un couteau a cran qui est dégainé, vous sentez ce poids, ce fardeau du corps d'un pourceau qui s'approche de vous avec l'idée bien fixe de vous dépouillée de tous, y comprit de votre dignité?...

Non Céline, vu votre allure, vu votre réflexion doué, vu votre rhétorique aimable et vu votre fierté, je sait que non…Pour connaître l'humanité, il faut avoir vu toute l'horreur qu'elle compose…Vos idées sont bonnes et clairement humanistes, mais croyez moi, je connaît une femme qui ne voulait auparavant que la liberté, une femme qui est bonne avec les autres, prévenantes, grandiose, savez vous ce qu'elle est aujourd'hui?...elle tient un bordel dans l'Armanswa…voici la réalité de ce monde, personne ne veut être libre, car être libre veut aussi vouloir dire prendre ses responsabilités…

Si mon récit vous as intéressée, cherché le Pêché Originel et demandez Calypso, dites que vous venez de la part de Kurt Mortis, et vous verrez, vous reconnaîtrez dans cette femme une personne qui ne veut que le bien de l'humanité mais qui sans cesse n'a connut que les affres des regards malveillants des autres moutons et pigeons de ce système..."

Le regard de Kurt était sombre, froid et mauvais, et la voisine d'en face de Céline en avait les cheveux dressé et des frissons pleins le corps, la pauvre, elle devait faire face de pleins fouet a toutes la noirceurs de cette âme cynique et amoral qu'était Mortis…
Lentement, le dandy se redressa et fit un grand sourire d'enfant a Céline, il parla d'un coup d'une voie plus forte et plus claire, bien loin des méandre grave et obscure qui avait été susurré il y'a un instant a l'oreille de Céline.

"…Mais je parle, je parle et je vais être en retard pour mes rendez-vous, au plaisir Céline, si un jour vous ete perdu et que vous cherchez du réconfort dans la bouche d'un être tel que moi, demandez Mortis et je vous retrouverais…adieu donc!"

Il fit un clin d'œil plein de charme à la jeune femme, usant l'espace d'une seconde de son don, avant de s'éloigner vers l'ascenseur, il claqua des doigts et les deux balourds vinrent le rejoindre…

Ha! Ces humanistes, toujours aussi amusant…

Céline assise dans un fauteil en fasse d'une autre cliente, sentit les main du dandy se poser sur ses épaules. En voyant tous ses bijoux elle ne put s'empêcher de sourire. Il détrompait lui même ses origines pauvres. Il avait réussit à s'en sortir. preuve tangible que la volonté peut beaucoup de chose, et dans n'importe qu'elle monde.

La jeune fille avait fait refluer son don. Son corps profitait du repos pour récuperer les forces nécéssaires. Il ne faudrait pas qu'elle en parle à ses parents... Il s détestaient qu'elle utilise se talant. D'autant plus en public devant un inconnu.

Mais pour le moment elle éloignait ce soucis. Parler de ses convictions ravivait en elle la flamme toujours someillante de la rébéllion. Et sans savoir pourquoi au juste, elle était contente d'en avoir parlé avec ce presque inconnu. Elle ne connaissait qu'une poignée de personne qui partagaient plus au moins ses idées.

Si ce Mortis n'était pas du nombre au moin il les comprenaient. Une rencontre intéréssante. Elle gardait le silence à la recherche de réponses à ses questions dites "philosophiques". La jeune femme se fichait de leur nom. Tout ce qui compatait était cette quête de véritée, si passionante et dangeureuse à suivre...

Kurt à son oreille commença un nouveau développement. Elle l'écouta en silence. Réfreinant l'angoisse qui lui serra le coeur quand il évoqua les forces de l'ordre. Il avait réussit à lui faire peur. Ce qui n'était pas commun. Mais au fond sans savoir comment l'expliquer elle était certaine qu'il n'était pas de ces hommes. Bien trop libre et exentrique. Et puis le ton de sa voix était si sombre. On sentait en elle qu'il avait vécue. Qu'il connaissait le véritable visage du monde.

Il lui venta son idéal humaniste tout en lui montrant qu'elle ne détenait pas toutes les clefs. Céline était fiére, oui. Elle ne le niait pas. Mais elle désirait apprendre. Que ce soit avec ce dandy était aussi suprenant qu'appréciable. Ses parents lui avaient apprit l'humilité. Et puis elle savait que quelque part son interlocuteur ne mentait pas. Bien que son existance ne fut jamais glorieuse elle n'avait jamais manqué des choses escentielles. Elle encaissa donc la critique en silence. Son esprit ouvert lui permit de prendre les choses et non de les rejetter.

Elle aurait voulut répliquer. Mais qu'aurait elle put dire en réponse à tent de lucidité. Il lui avait juste envie de continuer son apprentissage. Et puis une sorte de défit se formait en elle. Céline adorait être surprise, mais elle aimait encore plus suprendre. Un jour ce serait Kurt qui devrait l'écouter lui raconter la vie. Cela réclamait d'aller plus loin que ses connaissances actuelles, en faite tout ce qu'elle réclamait au fond.

Si mon récit vous as intéressée, cherché le Pêché Originel et demandez Calypso, dites que vous venez de la part de Kurt Mortis, et vous verrez, vous reconnaîtrez dans cette femme une personne qui ne veut que le bien de l'humanité mais qui sans cesse n'a connut que les affres des regards malveillants des autres moutons et pigeons de ce système..."

Elle avait reprit ses forces. Et mennée par son nouveau défis, ses yeux pétillaient de détermination. Sa voix répondit sans la moindre trace de doute.

-"Je la verrais."

Le jeune homme changea alors de comportement. Redevenant le chameur de tout à l'heure. Elle tourna son visage sériuex vers lui qui lui souriait. Il parlait d'une voix public retrouvant son masque. La jeune femme hocha doucement la tête, et s'en attendre retrouva l'attitude de la jeune étudiante charmée. Cela lui parue un peu mon dificile maintenant qu'elle le connaissait un peu.

"…Mais je parle, je parle et je vais être en retard pour mes rendez-vous, au plaisir Céline, si un jour vous ete perdu et que vous cherchez du réconfort dans la bouche d'un être tel que moi, demandez Mortis et je vous retrouverais…adieu donc!"

Céline se leva à son tour. Elle aussi avait un rendez vous. Alors qu'il partait quelque chose d'étrange lui attaqua fugacemant le coeur. Et pendant un court instant la jeune fille vit Kurt d'un autre regard. Cela se dissipa rapidement, alors qu'elle le voyait entrée dans l'ascenseur suivit par les deux "protecteurs".

Un instant elle resta là ne sachant que penser. Mais son regard tomba sur l'orloage mural au mur derriére le comptoir d'accueil. Elle avait cinq minutes de retard. Retrouvant sa vivasité elle courut sans se préocuper des regards mécontants. Sans attendr elle prit les escaliers montant au premier étage. Aprés avoir vérifier qu'elle donnait une image convenable, la jeune étudiante frappa à la porte. On la reçue pour son entretient. Elle allai enfin pouvoir influencer un peu plus sur ce monde.

» Dernier rendez-vous ?
» Recherche l'Ordre de Pandore (ouvert)
» Pour une future Chronique. [Kurt + Ouvert]