Andrea Valentine

Nom: Valentine
Prénom: Andrea
Sexe: Homme
Age: 30 ans
Date de Naissance: 14 février 2750

Caractéristique: Imitation.
Groupe: Renaissance de Pandore.
Place au sein du groupe: Scientifique de Pandore.
Statut: Ingénieur de police technique et scientifique.

Particularité (facultatif) : Son paternel au prix de multiples efforts l’a finalement déshérité. Pour payer la fin de ses études, il a exercé dans le mannequinat, et à notamment fait des publicités de parfums.

Description physique:

Andrea fait parti de ce genre d’hommes pour qui l’on se retourne sur son passage. Allant de la jeune adolescente en pleine puberté à la vieille femme lançant un regard indigné tandis qu’il lui fait un clin d’œil, de la femme mariée à un homme immensément riche à la ménagère des bas quartiers, enfin du petit ami jaloux au gay, personne n’y fait exception.
Car Andrea plaît, fascine, intrigue. Lui dont la démarche et la gestuelle, précise, délicate, n’est pas sans rappeler celle d’hommes d’affaires parfaitement entraînés à exécuter une dizaine de geste à la minute avec une parfaite précision. Lui qui affiche un look décalé, par moment excentrique, avec ses cheveux décolorés, coiffés en pics avec du gel, ses chaînes et ses bracelets, son jean délavé… et qui pourtant revêt une blouse blanche, saisit une valisette de cuir avant de s’enfoncer d’un pas décidé vers les locaux du commissariat de police tout en scrutant l’écran de son portable.
Ces éléments seuls suffisent à donner envie de voir d’un peu plus prés cet étrange phénomène.

Approchez vous donc, n’ayez pas peur. En général, lorsqu’Andrea mange, on en redemande encore.

Ses yeux captivent, retiennent. Et ceux qui ont déjà vu la PDG de Messia, en réalité ou en photo ne pourront douter une seconde: les deux jeunes gens possèdent les deux mêmes paires de prunelle grises, assorties de longs cils. Et la plus grosse erreur de la plupart sera d’être soulagée, croyant que nulle envie n’a pu un jour parcourir ce doux être de posséder sa sœur. L’on continue donc de parcourir ce visage au teint clair. Les sourcils laissent deviner que le châtain foncé semble être sa couleur naturelle. La moustache et le bout du menton ne son volontairement pas rasés. Entre eux deux, des lèvres. Fines, qui s’étirent formant un sourire radieux, ce qui en achèvera plus d’une. Notons également la présence d’un piercing sur sa langue.

Andrea est loin d’être un colosse. S’il est plutôt grand –sa taille avoisinant le mètre quatre vingt- il est en revanche plutôt mince de nature. Néanmoins, rien qu’à la vue de ses bras dénudés on pourra noter la présence de muscles, du à la pratique régulière de sport.

Description psychologique:

Le cœur humain est bien compliqué. Surtout celui d’Andrea.

Il y a tout d’abord l’Andrea que connaissent ses collègues de travail. Un type compétent, intelligent, n’hésitant pas à faire des heures supplémentaires s’il n’a pas finit son travail ou bien si cela peut permettre de dépanner quelqu’un. Mise à part sa fierté quasi palpable et une langue pouvant s’avérer parfois particulièrement incisive, beaucoup vous le décriront comme un type réglo qu’il est agréable de côtoyer.

Il y a ensuite, Andrea, le bel Andrea. Cet homme fort galant et respectueux, que beaucoup de femmes rêvent d’avoir, pour une simple aventure ou pour fonder un foyer. S’il est beaucoup moins coureur de jupons que par le passé, les relations de l’homme sont bien éphémères (et ne se limitent pas qu’aux femmes). Il est cependant un homme qu’il est difficile de séduire, que beaucoup jugeront d’inaccessible.
Andrea est en réalité incroyablement narcissique, bien que la quasi-totalité interprètent certains de ses comportements pour de la fierté, parfois mal placée. Il se porte aux nues, et se voue une véritable fascination. Il en remercierait presque son père de l’avoir conçu ainsi. En résumé, il aime sa personne. Pour autant la flatterie ne marche qu’un temps. En matière de sentiments, ou plutôt de séduction, il aime à jouer au jeu du chat et de la souris, jugeant cela bien plus amusant que d’avoir facilement ce qu’il désire.

Il est également indéniable qu’Andrea aime à être le point de mire de tous. Il aime briller, être admiré, et fait tout le nécessaire pour se faire remarquer. Pour lui « mieux vaut que l’on se scandalise à son sujet plutôt que l’on soit indifférent à son égard ». Indifférence qui par le passé l’a fait souffrir. Cependant, lorsqu’il entreprend quelque chose qui lui tient à cœur, Andrea déteste la médiocrité, et l’échec peut lui être insupportable. Il possède aussi un certain amour propre. Rancunier, il a du mal à pardonner les affronts que l’on peut lui faire. Egoïste… Comme son père comme sa sœur, cela doit être de famille…
Prêt à tout pour satisfaire ses intérêts, bien souvent personnels. Il peut alors recourir à des moyens tout à fait contestables, et machiavéliques.

Il y a aussi l’Andrea que seuls les membres de la Renaissance de Pandore voient. Un homme incroyablement naturel, mais aussi rebelle et révolté par le monde qui l’entoure et qu’il ne comprend, lui qui a rejeté un milieu bourgeois qui de toutes façons, semblait-il, ne voulait pas de lui. Cependant il ne s’agit d’une caricature de terroriste. Andrea se montre réfléchit, et veut prendre le temps de considérer toutes les conséquences que les actes du groupe pourraient avoir. Il faut dire qu’il y a un enjeu de taille…

… Elle. Son unique passion, celle qui le captive depuis toujours. Lui pensait avoir commis une erreur de jeunesse commence à se demander si, au fond de lui-même, il ne serait pas son prisonnier. Et pourtant, depuis des années il agit envers elle comme un étranger…
Mais sa tendre sœur n’est depuis quelques années plus la seule personne qu’il a dans la peau. Depuis 10 ans, Haven doit partager le cœur d’Andrea avec Timothée…

En définitive, Andrea est un homme insaisissable, lui-même n’arrive pas à se comprendre. La seule chose dont il est parfaitement conscient, c’est qu’il est quelqu’un de passionné, qui marche à l’instinct, qui vit avec ses tripes…

Histoire:

Gallisco, un 14 février 2740, à l’aube. Dans l’hôpital de la ville, de cris se mélangèrent. Ceux d’une femme, soulagée d’avoir enfin finit son « travail » et ceux d’un nouveau né. Un garçon, ce qui à l’époque faisait la fierté des deux parents.
Les Valentine, dès cette époque, possédait quelque chose d’immensément convoité par beaucoup : l’argent. Là où certains en manquaient cruellement, les Valentine, eux, était outrancièrement riches. Et parce que l’on disait que l’avenir du jeune Andrea était tout tracé, qu’il n’aurait probablement jamais de soucis financiers, on déduisit qu’il vivrait heureux, oubliant que l’amour reçu par ses parents est quelque chose de primordial dans la construction de l’adulte. L’amour, Andrea en manqua.

Avec le recul il vous décrira son père comme étant un capitaliste, un libéraliste à l’extrême. Sa vie semblait être régie par le besoin de faire du profit, sur le plan économique et financier, mais également sur le plan psychologique. C’était à croire que même les relations humaines était régies par le rendement. C’était tout du moins la question que l’on pouvait se poser en voyant le nombre de conquêtes du père.
Il en allait de même pour les relations avec son fils. En ce temps là, encore, Monsieur Valentine voyait son fils comme son digne successeur: il aurait Messia, il hériterait de sa fortune. Ce fils serait à son image. Alors dès son plus jeune âge Andrea fut condamné à apprendre. Apprendre à comprendre ce monde, apprendre l’économie, les mathématiques, la chimie, apprendre la comédie, à leurrer les autres. Cependant Andrea n’était pas son père. Lui se rapprochait plus du doux rêveur, et s’intéressait bien plus aux arts qu’à la chimie. Mais ses envies ne furent pas respectées. Si Andrea ne voulait pas prendre de lui-même la voie indiquée, alors on la lui ferait prendre de force. S’il traînait un peu trop des pieds on le punissait. Et lorsque les punissions ne suffisaient plus on en venait aux mains. Jusqu’au jour où Andrea suscita l’indifférence quasi-totale de la part de son père…

Au début il avait vu l’arrivée de sa sœur comme une véritable bénédiction. Souffrant de la solitude qui lui était imposée, il l’imaginait comme une bonne compagne, aussi bien dans les jeux qu’au niveau des rancœurs et des frustrations. Mais le temps passa, et Haven semblait plaire à son père. Andrea se mit alors à la jalouser, puis même l’envier. Il se rapprocha alors de l’autre délaissée de la famille, sa mère. Eux deux partageaient la même rancœur vis-à-vis du chef de famille. Mais le problème était que tous deux avaient besoin de lui, lui qui avait Messia, lui qui avait l’argent.
Puis Andrea grandit, et découvrait les autres, le monde autour de lui, qui n’était pas complètement dénué d’intérêt. Il connut sa première fille à l’âge de 15 ans. Mais bien évidemment, ce ne fut qu’une petite passade, et il se lassa d’elle au bout de quelques semaines à peine. Vint ensuite le moment où le regard qu’il porta sur sa sœur changea. Haven, pourtant si jeune était déjà belle, et ressemblait à une petite femme. L’amour fraternel qui lui portait se transforma peu à peu en désir qu’il n’essaya même pas de contrôler. Adolescent rebelle, il n’avait alors que faire de la morale, d’autant plus lorsqu’elle émanait d’un père qui ne rechignait jamais à l’idée d’aller dans le lit des autres. Et puis Haven était proche de se dernier, elle était dans le camp ennemi en somme. De ce fait, s’il y avait des conséquences à subir, elle les subirait aussi, et de manière indirecte, son père également. Mais toutes ses considérations disparurent aussitôt qu’il fut en sa présence. Quand il était avec elle, son père, ni même sa mère ne comptaient plus. Elle était la seule, elle lui suffisait amplement. Sa première relation charnelle avec elle fut un excellent souvenir. Au fond de lui, Andrea avait ce sentiment qu’il n’agissait pas dans le seul but d’assouvir ses ardeurs. Seulement il s’agissait également de la première fois de Haven, qui ne vécut pas l’expérience aussi bien que lui. Si durant quelques mois il tût ses envies de lui faire à nouveau des avances, il ne put s’empêcher de lui dévoiler ce qu’il avait sur le cœur un jour où il l’aidait à faire ses devoirs. Il avait envie d’elle, tout simplement. Certains pouvaient trouver cela répugnant, mais les choses étaient faites ainsi, et Andrea n’avait aucunement envie de changer ce qu’il estimait être un état de fait, d’autant plus que le deuxième acte fut beaucoup mieux vécu par celle qu’il surnommait « sa passion ».

Cependant les choses n’ont jamais été telles qu’Andrea voulaient qu’elles le soient. Sans raison particulières, ils s’éloignèrent l’un de l’autre, et chacun vécu ses relations « amoureuses » de son côté. Andrea multiplia à nouveau les conquêtes, s’intéressant à la gente masculine lorsque le beau sexe ne l’inspirait plus. Les rivalités et les tensions avec son père se faisaient de plus en plus pesantes. Cela faisait depuis bien longtemps qu’Andrea avait comprit qu’il risquait d’être le oublié dans la succession, ayant pertinemment conscience que son père n’avait d’yeux que pour Haven. Messia ce serait bientôt elle. Quand à lui, son père lui déclara un jour « Fais ce que tu veux, va crever dans un coin si ça te chante mais n’attends rien de moi ». En d’autres termes, Andrea savait que tôt ou tard, il devrait se débrouiller seul. Lorsqu’il décida de s’inscrire à la faculté de sciences, il n’obtint que railleries de la part de son père. Par chance, il avait le soutien de sa mère, qui elle ne portait pas vraiment d’intérêt à sa fille. Avec le recul, Andrea en est venu à se demander si ces deux êtres n’avaient pas vu leurs enfants comme des pions, sur lesquels ils passeraient leurs rancœurs vis-à-vis de l’autre.

A 18 ans, donc, Andrea alla à la faculté. Ses horaires, sa vie d’étudiant l’éloignait chaque jour un peu plus de sa sœur, elle qui avait été la seule à susciter en lui un intérêt véritable. En marge de ses études, il menait une vie de petit libertin. Les filles, l’alcool, les soirées bien arrosées. Son père, tout en haut dans sa tour fermait les yeux, il le savait pertinemment. Tant qu’il n’entachait pas de trop l’image de la famille tout irait bien pour lui. Seulement Andrea valait cher, trop cher, et plus il dépensait, plus il avançait le jour où son père lui couperait définitivement les vivres. Au sein du cercle familial, les tensions grandissaient, et beaucoup de domestiques murmuraient que l’un finirait par tuer l’autre. Les deux époux finirent par divorcer. Andrea partit dès le lendemain de l’officialisation du divorce laissant cette sœur qui, à son plus grand damne, prenait de plus en plus le même chemin que son paternel. Trop blessé à l’idée qu’elle ne serait pas l’idéal qu’il s’était imaginé, Andrea ne donna aucune nouvelle de lui. Il avait alors 20 ans.

L’année de ses 20 ans correspond à une période charnière, à un véritable tournant dans la vie du jeune homme. Cette année là, tout changeait pour lui. Son père lui coupa les vivres, et on lui refusait les bourses pour pouvoir louer une chambre d’étudiant. Le petit prince venait de mettre pour la première fois le pied dans le monde réel… Monde qui était incroyablement laid. Il y découvrit la misère, comme ses pairs due accepter tous les petits boulots qu’on lui proposait. Par chance, il n’eut jamais à se prostituer. Par chance encore, il avait un joli minois, et se fit très vite repérer par une agence de mannequin. Parallèlement à ses études donc il prenait la pose. Paradoxalement, si le jeune est narcissique, son job de mannequin le lassa vite. Se faire entendre dire toute la journée qu’il allait être beau, que bientôt les hommes achèteraient le produit dans l’espoir de lui ressembler, que les filles rêveraient de lui ne l’amusa que peu de temps. Il était beau et estimait que cela était un fait avéré depuis le commencement de son existence. A quoi bon donc répéter cela tout le long de la journée?
Un autre évènement, bien plus lourd de conséquences surgit également. C’était par une belle après midi de printemps, l’étudiant était tranquillement installé en train de réviser ses cours lorsque la sonnette retenti. Lorsqu’il ouvrit la porte, il vit une jeune femme, et tiqua. Elle était certes belle mais la forme et la grosseur de son ventre indiquait qu’elle était enceinte. Et Andrea fuyait les femmes enceintes comme la peste. Il s’avéra que la jeune fille était l’une de ses ex… et que l’enfant qu’elle attendait était le sien. A cette annonce, le jeune homme avait manqué de faire un arrêt cardiaque. Il suggéra de s’en débarrasser, de l’abandonner. Il y avait des services sociaux pour cela non? Alors qu’il était déterminé à ne jamais voir cet enfant de sa vie, mais la future maman prononça une phrase, quelques mots à peines qui le firent changer du tout au tout : « Tel père tel fils ». L’amour-propre d’Andrea en prit un sacré coup. S’il y avait bien une personne à qui il ne voulait pas ressembler, c’était bien lui. Aussitôt, il déclara qu’elle pouvait compter sur lui. L’enfant aurait un père. Les mois passèrent, Andrea remplit les actes, reconnut donc l’enfant… et se rendit compte quelques semaines après la naissance qu’il avait été le seul à les avoir rempli. Un beau jour il se retrouva avec son fils dans les bras et la maman on ne savait où, sauf dans l’archipel. Il dut alors se rendre à l’évidence: Il serait le seul à élever le petit Timothée.
A 20 ans donc, Andrea était étudiant, mannequin, et père de famille.

Si durant deux ans, les choses furent moins pire que ce qu’il ne l’aurait cru, à l’âge de ses 22 ans tout ce compliqua un peu plus. Les finances manquaient, et Andrea ne pouvait se permettre d’arrêter d’étudier. Pire encore, il apprit dans les journaux l’agression de sa sœur, qui elle ne pourrait jamais être maman. Ses rancœurs vis-à-vis d’elle disparurent, et son premier réflexe fut d’aller à son chevet. Là où il aurait espéré la voir éveiller, pouvoir s’excuser et confier tout ce qu’il avait sur le cœur, il la découvrit endormie, leur père à ses côté. La discussion qui s’ensuivit fut violente, blessante, houleuse. Andrea reprocha à son père son manque de présence auprès d’eux. Si Haven était dans un tel état, c’était de la faute de son père, voilà tout. Il lui ensuite qu’il avait un fils de deux ans… et eut en retour le droit de se faire traiter d’abrutit. Mais cela ne fut rien comparé au rire tonitruant qu’il entendit lorsqu’il annonça qu’il manquait cruellement d’argent. Et comme si cela n’était pas déjà assez difficile à encaisser, son père conclut sur une phrase qui eut l’effet d’un poignard planté en plein cœur : « Ta pauvre sœur va bien rire lorsqu’elle apprendra tout cela. Que crois-tu, elle aussi te prend pour un raté… »

Meurtri, blessé parce qu’il venait d’entendre, Andrea tourna les talons. Dès lors il fut déterminé à ne plus entendre parler du père et de sa fille. Il ne prit pas la peine de se rendre à son enterrement. Lorsque sa mère décéda, il ne prit non plus la peine de prévenir Haven, intimement persuadé de ne lui inspiré que du méprit, à mille années lumières de s’imaginer que sa sœur n’avait aucunement conscience qu’il s’était rendu à son chevet, qu’il était père de famille.

La vie reprit son cours. Andrea acheva ses études, travailla tout d’abord comme ingénieur en laboratoire. Il fut contacté par la Renaissance de Pandore, pleinement consciente de la rancœur du jeune homme envers la haute société, l’âme de Gallisco et l’Apocaliptic Blow. De plus, Andrea était un excellent scientifique, ce qui serait un atout pour le groupe. Il fut mis au courant de la légende de Pandore. Souvent l’homme pense à la boîte, ce demandant si elle existe, et surtout les effets liés à l’éventuelle ouverture de la boîte. Vis-à-vis des femmes il a toujours le même comportement, même si ses conquêtes sont beaucoup moins nombreuses qu’avant. Actuellement il est plus considéré comme un libertin déchu, un homme qui ne vit que des relations qui n’aboutissent jamais. Cependant il vit grâce à l’affection de son fils, et si durant longtemps il crut qu’il serait incapable de l’élever, le seul fait de voir ses yeux posés sur lui le fit changer d’avis. De plus Andrea ne veut pas reproduire le même schéma qu’il a vécu, et se comporte comme un véritable papa poule… parfois même un peu trop.

Les années se sont écoulées, mais sa passion pour Haven reste quasiment inchangée, mise à part le fait qu’il prenne plus de recul par rapport à elle, au point de vouloir la retrouver. Elle est sa sœur, il l’a dans la peau. Et puis en tant que dirigeante de l’Apocaliptic Blow, elle est considérée comme une ennemie potentielle au groupe. Andrea lui, compte faire en sorte que cela change, qu’Haven passe du statut d’ennemie potentielle à celui d’alliée…

Autre: Timothée a 10 ans. Une image de lui sera incessamment sous peu disponible dans la signature.

[Question subsidiaire] : Comment avez-vous découvert le forum? Je suis Destiny^^